dimanche 30 octobre 2011

Electrabel et le marchandage honteux

Super! Mais que Electrabel augmente les prix.! C'est la meilleure solution pour pousser la recherche et le développement d'alternatives et permettre aux citoyens de devenir plus autonomes et indépendants et surtout de diminuer les gaspillages. C'est cynique mais au regard des arguments avancés par les inconditionnels du nucléaire, c'est probablement la seule solution. En regardant le différentiel de prix entre la Belgique et la France, les subventions au nucléaire sont énormes en France d'autant qu'elles sont déjà énormes en Belgique (amortissements déjà bien dépassé). La diversification est ce que la nature a dû créer pour survivre. Ce qui est prendre est à prendre (éolien, photovotaïque,...). A qui profite le crime de vouloir mettre tous ses oeufs dans le même panier?

Cependant, la région Wallonne a trouvé 300 millions en 24h alors le Fédéral devrait trouver 150 milliards en 500 jours. Trève de plaisanterie, pour avoir été débarqués sans faire de vague, les écolos peuvent avoir la sortie du  nucléaire. Ils vendent l'esprit d'égalité des citoyens, fondement de la démocratie pour un objectif de parti. Même si depuis longtemps, la politique ne doit pas être soumise à l'économique, et même si j'approuve cette sortie du nucléaire, la démocratie n'est pas négociable et ne peut faire l'objet d'un marchandage. Procès d'intention? Avec forte présomption. Ce qu'il faut dénoncer c'est cette pratique poussée au vice de créer des moyens de pressions, ce clientélisme chronique induisant l'impunité, la traitrise, le parjure. EDR est un champion et ses acolytes les bras armés et jetables de ses pratiques.

jeudi 27 octobre 2011

Que signifient encore ces accords?

Que signifient encore ces accords sinon de faire croire que la situation est sous contrôle et qu'ils travaillent pour le bien de tous. Lisez, analysez en essayant de comprendre que ceux qui acceptent ces sacrifices de la masse sont ceux qui, hier encore travaillaient à construire cette catastrophe. Prouvez moi le contraire. Il est bien normal qu'ils s'accordent vu qu'ils ne peuvent accepter qu'ils sont la source même des problèmes.

Trop peu et trop tard. Trop peu car ils ne montrent pas la volonté d'assainir le monde politique et la travail farouche pour se rendre rien qu'un minimum éthique et juste. Avez vous remarqué les sacrifices énormes demandés aux petits, aux précarisés et le cynisme avec lequel ils annoncent le réajustement de leurs avantages? Sans penser à l'opacité entretenue avec machiavélisme, rendant caduque notre sanction d'électeur d'autant qu'ils ont galvaudé le sens de la constitution afin de se rendre incontournables. Signes qu'il faut trouver des actions nouvelles, originales, pour tenter de sortir de leur système, rendant leurs actions inefficaces. Il n'y a pas beaucoup d'options qui puissent aussi garantir à ceux qui sont restés honnêtes sinon de se réunir à la France, d'autant plus dans un contexte aussi pathogène et qui ne risque pas de s'aplanir.

Voilà quelques exemples d'actions dans les accords qui auraient dû être prises dans un régime normal et non obligés par la pression d'un vote sanction (NVA). Non seulement ils négocient, se mettent d'accord sur des actions hypothétiques mais de plus qu'ils savent ne pas tenir la route comme par exemple décharger les policiers, c'est une évidence et pourtant ceux qui s'accordent ne l'on pas fait avant, pourquoi? Maintenant qu'ils sentent souffler le vent d'une scission qui enfin permettrait de se débarasser d'eux, ils voudraient nous faire croire qu'ils s'appliquent à plus d'éthique, de justice. Comment encore donner à ces prédateurs la chance que nous, électeurs, avons donné durant des décennies de galvaudages et d'impunités. Mais finalement, que signifient ces pseudo accords. Ils se sont déjà assis sur la constitution, inaugurant les différences entre citoyens, outrepassant les droits d'un gouvernement en affaires courantes et fort de ces traitrises, les accords sont vidés de sens dès le départ.


Concernant la commission spéciale plutôt qu'une commission d'enquête sur l'affaire DEXIA. Cette dernière ayant le pouvoir de lever le secret professionnel. Comment faire semblant de faire le jour sur cette manipulation, cette incurie et les impunités qui continuerons. Les débats devraient-être mené devant les citoyens en toute transparence comme le reste des négociations, d'ailleurs. Sinon comment voulez-vous poser un acte responsable lors des élections si vos élus occultent leurs manques de persuasions, leurs magouillages et leurs petits profits. 

Schyzophrénie Belgo-Belge

La pugnacité qu'apportent nos élus à garantir la pérennité des activités et des fleurons Belges montrent-elle l'évidente volonté de maintenir la souveraineté des citoyens Belges sur leur destin? Il semble que certains veulent continuer à se cantonner à n'être que des faire valoirs d'une particratie prédatrice. A choisir entre participer à un projet national au lieu de l'illusion de faire partie d'un projet Belge où ma voie n'a plus aucune importance au Nord, je préfère au moins celle qui me donne une chance d'agir sur mon futur. Rejoindre la France c'est au moins avoir un peu à dire en France que rien ici. Déjà que la plupart des fonctions régaliennes sont phagocytées par la Flandre, le reste est contrôlé par la France quand ce n'est pas par des prédateurs bien cyniques et indifférents à nos besoins sociaux.

DR se doit de réagir. Trop tard, cependant. Revisitez les communications des années passées avec la construction démagogique, pourtant dénoncée sur ces pages, d'un poids politique à l'aulne d'une communication omniprésente faisant de Reynders, bien lent à réagi par exemple sur les QFIE, un homme d'état. Pourquoi bataille, jeu de dupes, pour des profiteurs qui vident de sa substance ce pays, pour des strapontins. Tout ce qui est à prendre est bon à prendre. Il faut aussi rappeler qu'il est accompagné, comme pour les notionnels par le PS et les autres qui se retrouvent aux négociations pour former un gouvernement. Rejoindre la France c'est nous défendre mais aussi assainir notre démocratie.C

Certains ont voté par un vote sanction pour un parti, dont les thèses sont plus que douteuses mais qui n'a rien à perdre concernant les strapontins, ni le besoin d'entretenir une armée de taupes. Message envoyé au politique qui pourtant bricole une pseudo réforme destinée à faire croire qu'ils ont compris le besoin immense d'une population à retrouver un minimum d'éthique et de justice. Où sont les signaux forts montrant qu'ils se mettent à la merci des citoyens. L'impunité (regardez Dexia), l'absence de pas de côtés (tant prônés par EDR), les paroles données (MR, CDH, Ecolo). Ils préfèrent nier leurs responsabilités passées et de s'asseoir sur les fondements de la démocratie. Un gouvernement en affaires courantes qui ne pourrait pas prendre des décisions mais qui pourtant part en guerre. Pour avoir si bien manoeuvré, oui nous n'avons pas d'alternative au Sud. En France, tout n'est pas rose mais l'alternance est possible.

On ne demande pas au Politique d'être des techniciens mais de respecter le mandat qu'ils ont présentés lors des élections. L'administration est là pour épauler le politique. Toutefois, l'administration est mise de côté au profit de consultants honteusement payés. Comment voulez-vous que les fonctionnaires soient encore motivés. La politique n'est pas soumission à l'économie. Malheureusement, la sanction souveraine des citoyens est détournée par des artifices qui aboutissent à une totale défiance. La traitrise, le parjure, le reniement deviennent alors valeurs. Inversions qui permettent à des sinistres d'oser annoncer que 100 millions de déficit budgétaire ne serait qu'un jeu d'écriture. Face à cette impossibilité constitutionnalisée de sanction, la France est une voie qui comporte pragmatiquement un intérêt qu'il faut au moins évaluer. Ce que se défendent évidemment nos prévaricateurs. Même si cela fait mal à notre belgitude, aller aux moindres résistances est un signe de santé.

Plutôt que de continuer à entretenir une schizophrénie mortifaire, allons de l'avant, là où nous pourrons encore agir. Nous n'avons plus la possibilité de faire valoir notre souveraine sanction au Nord qui a depuis des décennies phagocyté les fonctions régaliennes et pas mal de grandes sociétés et nous avons déjà pas mal de nos intérêts au mains de la France. POur la sanction électorale au Sud, ils ont débarqués ceux qui génaient, rendant impossible toute alternative. Peut-être par leurs incuries, nos prévaricateurs seront remerciés d'avoir préparé une union où nous aurons le droit d'utiliser l'alternance, le référendum et peut-être infléchir des tendances brunes qui s'y dessinent. Même si, véritable séisme, nos familles politiques faisaient des gestes forts, avons-nous encore le temps de renouer avec la confiance érodée depuis des décennies. Ils sont nombreux ceux qui se sont levés et aussitôt récupérés.

Lorsque ceux qui sont aux négociations expriment qu'eux, partis démocratiques (laissant croire que les autres ne le sont pas ou pire que les élections sont truquées:-) travaillent pour le citoyen, ils nient justement ce message fort du désir d'un part substantielle des citoyens à de l'éthique et de la justice. La systématique de cette communication, tactique des glissements sémantiques, vise à nier leurs responsabilités dans ce que nous constatons aujourd'hui. Incapables de remises en questions, l'instinct de survie est très vivace chez nos prédateurs. Certaines famille sont des preuves vivantes même sous perfusions alcooliques :-)

Les nationalismes sont critiqués par nos politiciens, avec force et détermination. Pourquoi sinon pour occulter qu'ils ne respectent pas leurs propres électeurs, laissant croire que c'est la faute des autres? Pensez-vous que les élus en France ne travaillent pas pour le bien être de la France et des Français, ce pour quoi d'ailleurs ils furent élus. On a beau critiquer le nationalisme, il reste un moteur de cohésion. Nous pourrions reprocher aux Français un manque de fairplay mais certainement pas d'assurer le bien être de leurs électeurs. Par contre, les réformes grenouilles qui se veulent boeuf sont de véritables offenses à la souveraineté du peuple. Oui, le compromis montre une société équilibrée. Cependant déguiser une capitulation est bien pire. La démocratie n'est pas négociable.

Juste un barrage préventif à la NVA. Allons plus loin...pourquoi déjà cet empressement? Certes les choses sont pliées mais il reste, que cela a été possible uniquement par l'omniprésence de la NVA. Sans la NVA, l’empereur de Mons n'aurait pas pu faire peur à tous ceux qui espèrent un strapontin et de continuer à alimenter les copains. Le risque d'un éclatement du pays a amené les francophones a oublier qu'ils méritent mieux et les néerlandophones qu'ils ne sont pas écoutés. Où voyez-vous que la 6eme réforme consacre un retour à une politique respectueuse des électeurs, éthique et juste? Une des seules voie de sortie reste de rejoindre la France et pour Bruxelles, l'Europe. Certains trouvent que la démocratie n'est pas négociable et risquent leur peau. D'autres n'hésitent pas à la fouler et par traitrise, s'imaginer parcequ'ils sont fils de, de continuer la dynastie.

Comprenez-vous l'annonce de Demotte d'un milliard d'économies depuis 2009 et l'annonce voilà quelques jours d'un budget dépassé de plus de 200 millions. Et pour 2010 et 2009, les dépassements de budgets sont aussi à l'avenant. Il doit s'être trompé : Il s'agit de pertes ou mieux, comme dirait Antoine, un jeu d'écritures. Jolies manipulations. Pour faire simple , au départ j'ai 1000 que je partage en 3. Je promet aux deux régions 300 et il me reste donc 400. Malheureusement, entretemps, je n'ai plus que 800 car TOUS ont perdu 200 par appât du gain trop facile et en étant trop "naïf". J'ai promis 300 aux régions et il me reste donc 200, la moitié pour financer des fonctions essentielles. Il ne faudrait quand même pas que le strapontin d'EDR soit mis en péril.

lundi 24 octobre 2011

Participation des régions et commuanutés

Nous sommes dans un pays qui doit faire l'économie de 10 milliards. Cette somme sert à tous, y compris aux entités fédérées d'autant plus qu'elles sont refinancées (et normalement responsables). Mais revenons aux 10 milliards, ils sont bien destinés à quelqu'un si ce n'est essentiellement pour refinancer aussi les entités fédérées. Alors, pourquoi ces dernières ne pourraient-elles pas en partie assumer la charge. Par ailleurs, les responsables de cette situation, sont-ils seulement ceux qui siègent au fédéral? N'est-ce pas un peu facile de se décharger de toute responsabilité tant au fédéral qu'aux régions? Comme si ceux qui se trouvent au fédéral ne participaient ou n'échangaient pas avec le régional alors qu'ils sont des mêmes staffs. Cela ne préfigure-t-il pas une extraordinaire manoeuvre visant à totalement dissocier le fédéral du régional puisqu'il n'y a plus de vote sanction possible du Nord au Sud et inversement. La Flandre va se réveiller sur des conséquences funestes.

IL ne faut pas être trop naïf et s'imaginer que le niveau fédéral est entièrement dissoscié du régional. Les staffs sont les mêmes, les arrangements entre copains aussi (d'autant plus avec la synchronisation des élections). A partir du moment où le Nord ne peut apporter de sanction au Sud et vice versa, où les justiciables ne sont plus égaux de Ostende à Arlon, en fonction de l’appartenance au sol, .. Depuis longtemps, il aurait été possible d'apporter des effets d'échelles, des grandes économies, cela semble assez élémentaire et pourtant rien... ou parfois même une complication, une lisibilité rendue  impossible pour mieux tromper ou embrouiller le citoyen. Pourquoi sinon pour entretenir un système qui n'est absolument plus en phase avec les programmes des partis car aussitôt élus, ils modifient les règles pour s'assurer de ne pas être mis en difficultés.

Lorsque les fondements de la démocratie sont à ce point galvaudsé, il faut sortir du système. La réuunion à la France est une option qui apporte bien plus de bénéfices que de désagréments et dont ils ne veulent sourtout pas qu'elle soit même évaluée. Même ceux qui portaient certains espoirs visant à mettre un minimum d'éthique et de déontologie se sont fait rouler. Exemple parmis tant d'autres,  le cumul des mandats...édulcoré. Les tentatives ne manquent pas et pourtant les résultats sont à l'opposé comme nous le montre ces accords qui ne permettent même plus, depuis longtemps, aux citoyens de mesurer l'adéquation des programmes politiques (pour lesquels nous votons) et le détermination de nos élus à les défendre. Faut-il encore avoir de la tolérance ou de l'espoir dans ceux qui ne font même plus l'effort de se mettre en danger pour leurs électeurs?

Changeons les mentalités?

Les mentalités ne sont pas prêtes pour commencer à comprendre que la scission est la seule façon de se débarrasser d'une particratie devenue sourde à l'expression des citoyens. Aveuglés par une communication savamment orientée pour redéfinir les fondements de la démocratie, au gré des intérêts de leurs responsables, nous n'avons, au Sud, que le choix de la peste ou du choléra. Le Nord a bien tenté de faire le ménage mais a bien vite été récupéré par ces prédateurs. Nous savons que les loups ne se mangent pas entre eux et la tenue de ces négociations est bien la preuve de cet adage. Les mentalités n'osent pas encore rejoindre une masse critique qui peut nous rendre plus insensible à  la mondialisation et nous offrir l'opportunité d'avoir encore un peu à dire alors qu'ici nous sommes tenus au titre figuratif. De plus l'incarnation de l'Europe par Bruxelles permet à cette dernière de mettre les mains de cambouis.

La plupart des infrastructures sont déjà Françaises ou Flamandes. Nous n'avons pas de droit de vote en Flandre mais par contre en étant Français, nous avons un poids, certes petit, mais existant pour infléchir les décisions. Comment arriver à infléchir des décisions flamandes puisque constitutionnellement nous n'avons plus d'influence au Nord. Différenciation des citoyens pourtant égaux devant la loi que dénonce certains qui évidemment se font débarquer. Et certains vont jusqu'à encenser le parjure de ceux qui criaient haut et fort l'indispensable élargissement. Il n'y a plus d'homme d'état, de politicien mais des hommes d'affaires. La politique c'est dans les tripes. Les nôtres c'est dans le portefeuille. Alors qu'ils vous font croire à une réforme importante, regardez la réalité du planning et la force des sacrifices. Rien ou si peu que c'en est une honte!

Comment voulez-vous juger du bien fondé ou de ce qui s'est réellement passé lorsque la NVA a été poussée à se mettre hors des négociations. Alors qu'ils rendent impossible et particulièrement ceux qui se disent partis démocratiques laissant croire que les autres ne le sont pas (ou cela présuppose-t-il que les élections furent truquées. Grave accusations :-) toute confrontation à  la sanction souveraine des citoyens en cachant leurs négociations, ils évitent ainsi que le citoyen puisse juger de la détermination de leurs élus à défendre leurs programmes électoraux. Depuis combien de temps, malgré la situation de notre pays, n'y-a-t-il plus eu de sanction électorale. N'est-ce pas une preuve de la dégradation de notre démocratie. Ne sachant plus voter sur les décision du Nord, nous ne pouvons plus infléchir une politique qui nous concerne pourtant. Différences entre citoyens qui s'agrandit à BHV et qui nécessite l'éviction de certains qui défendent certains fondements et la valeur de la parole donnée (dans les programmes électoraux, justement).

Par exemple prenons Mittal (et valable aussi pour Dexia, Fortis, Electrabel, LaPoste, la SNCB, ….), l'objectif de ce dernier était de prendre ce qui était à prendre afin de rendre l'outil obsolète et de pouvoir renforcer les autres bassins qui lui sont rentables. Rien de plus. Le plus grave sont ceux qui sont normalement représentants des intérêts des citoyens, élus pour le programme qu'ils avancent et qui prennent des décisions sans pouvoir respecter les plus élémentaires règles du POC : Prévoir, Organiser, Contrôler. Pour les prévision, ils mentent déjà. Pour l'organisation, ils s'appuient sur les plus fragiles et pour le contrôle, ils oublient et veulent faire oublier. A force de nier leurs erreurs, ils nous condamnent à répéter ces dernières au profit d'une minorité. Ils nous asservissent à l'économie alors qu'il s'agit d'un outil.

Responsabilités constamment éludées

La responsabilité est double. La première est d'avoir permis l'émergence de partis extrémistes en n'arrivant pas à un minimum d'éthique, de déontologie. La deuxième est d'avoir été instigateur durant de nombreuses années du mensonge honteux d'avoir fait croire à un message socialiste et d'agir en véritable prédateur. Nier l'histoire c'est nier ce qui nous a amené à cette situation et s'abandonner aux recommencements. La leçon d'un vote sanction des flamands, en demande d'un rétablissement d'un minimum d'éthique n'a pas été considérée par ceux qui se trouvent aux négociations. Toujours avides de pouvoir et de l'entretiens de celui-ci, aux dépends du bien être des citoyens, ils n'en mesurent pas l'importance. Au sud, à force de noyautages subtiles, les citoyens ont été privés de toute possibilité d'apporter le changement salutaire. Non, il ne faut pas se résigner et accepter l'inacceptable. La démocratie n'est pas négociable. Partons vers la France et Bruxelles vers l'Europe en besoin d'incarnation.

Voici l'exemple même d'une stratégie visant, par de subtiles transformations, à faire croire aux citoyens que ces partis ne sont pas responsables de ces décennies de phagocytages et de galvaudages de notre société. C'est un comble qui malheureusement fonctionne, de faire croire que la NVA a un agenda caché. Les statuts et le discours tranché n'est certainement pas le signe d'un agenda caché. Alors qu'ils manigancent depuis longtemps, ceux qui sont responsables de la situation actuelle, tentent comme à l'accoutumée, de rejeter les erreurs, les fautes, les affaires sur les autres. Oui, ils (NVA & FDF) se sont exclus des négociations. Le contraire n'était pas possible car fondamentalement opposé aux fondements de la démocratie. Alors qu'une large frange de la population Flamande émet un vote sanction (jeux, certes dangereux), les partis qui ont si bien noyauté toutes les couches de l'état n'entendent pas ce message. Au Sud, n'en parlons pas, les affaires, l'impunité, la traitrise nous en parlent clairement, il n'a pas été possible de construire des alternatives, car aussitôt récupérées. Lors de ces négociations, sous la soit disant bannière démocratique (laissant penser que les autres ne le sont pas), ces prédateurs tentent de se crédibiliser en décrédibilisant l'action des autres. Manipulation continuelle qui ne pourrait-être évitée, comme ces recommencement qu'en rejoignant la France et Bruxelles l'Europe.

La France

Elle est étrange cette démocratie où l'impunité du représentant qui utilise la confiance donnée par les électeurs pour accumuler des profits, rendre les citoyens plus pauvres et puisse vendre des pans entiers de notre économie et ne subir aucune sanction suite à des actes ou même simplement des erreurs. Ces prédateurs y sont même élevés comme Homme d'Etat et leurs parjures, définit comme valeurs  et actions démocratiques.
Etrange démocratie où on fait un procès vis-à-vis de personnes qui profitent de leur pouvoir pour abuser d'enfants et où par contre les représentants qui se disent au services des petits et des faibles ne sont, ni inquiétés mais au contraire, plébiscités.
Comment s'étonner alors que les messages distillés subtilement n'ont pour but que de détourner l'attention des citoyens des frasques de ceux qui, il faudra tôt ou tard le reconnaître, sont à l'origine de la situation après des décennies de galvaudage de notre démocratie.

Loin de faire l'apologie de la NVA, il faut toutefois comprendre qu'une frange importante de Flamands a, comme dernier ressort, essayé de secouer la démocratie, en votant pour un parti qui n'est pas tenu par ces décennies de graduelles mains-mises et noyautages. Les loups ne se mangeant pas entre eux et ils ont réussi à éviter d'être jugés sur leurs actions, réussissant à détourner les regards vers les "victimes" les plus faciles. Constatant l'impossibilité de changer un fonctionnement détournant les fondements de la démocratie, d'un amalgame entre la politique et l'économie rendant la première soumise à la seconde, il n'y a même pas d'opportunité pour les habitants du Sud pour le  changement, obligés à choisir entre la peste ou le choléra et condamnés à revivre les mêmes errements.

Pourquoi faudrait-il éviter d'envisager la scission? Peut-être pour des raisons émotionnelles mais en tous cas pas, a priori, pour des raisons économiques ou démocratiques. Il faut croire qu'ils arrivent si bien à plier la réalité qu'ils arrivent à faire croire à l'indispensable nécessité de garder leurs ressources électorales et financières : Les citoyens. Même si cela fait mal à notre Belgitude, la démocratie à trop longtemps supporté ces prévaricateurs et elle n'est pas négociable. Il s'agit peut-être d'oser  le changement qui redonnera un sens à la souveraineté des citoyens et permettra, peut-être au moins d'être acteur, décideur sans être incessamment récupéré par une conception bien particulière de la démocratie. Rejoignons la France.

et en réponse à  ERIC123456 sur le Vif :  Qui se sent morveux se mouche. Mais je vous remercie cependant de votre réaction qui me permet un peu d'approfondir. Vous avez raison, la France n'a pas une politique exemplaire, mais elle en a déjà une. Les affaires y passent au moins devant l'un des piliers de la démocratie. Au contraire de la Belgique où même en trébuchant sur les preuves de fraudes fiscales ou sociales, il n'est pas possible d'avoir une justice qui n'est pas à la merci d'une politique qui défend ses intérêts. Vous pensez, bien sûr, qu'il n'y a pas en France d'activité politique, de débat. Il faudrait être lobotomisé pour ne pas y voire une vie politique intense (les primaires socialistes, même si c'est aussi de la manipulation, montrent une mobilisation avec des tensions, des débats mais la conscience que la vie politique est l'affaire de tous. Essayez en Belgique). L'alternative, le référendum ne sont pour vous que des symboles. Je peux alors comprendre votre réaction et aux lecteurs de juger de la pertinence de votre opinion mais par contre les raccourcis que vous tentez d'apporter montrent l'intention de nuire. Je préfère avoir au moins un peu l'occasion d'infléchir la débilité de Sarkosy ou des autres que d'être écarté complètement ici en Belgique. Cela s'appelle l'impuissance. Enfin, cela vous arrange peut-être bien. Pour ma part, quel serait mon intérêt à  proposez à  mes concitoyens de partir vers la France s'il n'y avait l'espoir d'un mieux, à long terme. Cela semble assez élémentaire.

dimanche 23 octobre 2011

DEXIA Holding et Négociations

La confusion entre la politique et l'économie commence à porter malheureusement ses effets. La population est maintenue dans l'ignorance ou dans une illisibilité entretenue, permettant toutes les forfaitures y compris celle de galvauder les fondements de la démocratie. Tous diront qu'il ne faut pas revenir sur le passé car cela ne fait pas avancer la société. Certes, il est tellement encombré d'affaires, d'impunités, de manques d'éthiquse, de programmes politiques non respectés si pas retournés et de traitrises que cela peut se comprendre. Ils tentent par tous les moyens de faire oublier leurs frasques et ils semblent y arriver. Même les faits récents sont occultés ou transformés pour, disent-ils, notre bien à tous. Nier avec autant de cynisme n'aboutit qu'à répéter les erreurs du passé. Lorsqu'ils prônent la rigueur budgétaire, elle s'applique aux autres. Lorsqu'ils imposent l'austérité, elle touche ceux qui ne peuvent se défendre, victimes faciles. Mais regardez ces prédateurs!

Le vote sanction des Flamands qui n'ont plus trouvé que la NVA pour essayer de s'affranchir d'un système politique qui ne tolère pas d'alternative, de référendum, de démocratie directe, n'est même pas entenud, encore moins écouté. Non, ils préfèrent faire comme si de rien n'était et continuer à garantir leurs prébendes. Qui sont ceux qui ont permis ce qui arrive si ce n'est ceux qui sont aux négociations. Voulons-nous continuer ainsi. Or, même avec des signaux aussi forts, ils ne peuvent   se remettre en question même jusqu'à envisager leusr disparitions. Preuve d'un mimétisme des plus pathogène. Que pouvons nous faire sinon subir. Se révolter? Une voie, face à l'urgence est de partir vers la France. Toute autre proposition étant, comme le montre la cécité de ces prévaricateurs face aux messages des citoyens, vouée à être transformée et finalement récupérée dans l'intérêt de pérèniser leurs intérêts.

Rappelez-vous les études commandées (avec l'imprimature universitaire) juste après les élections. La BNB et le BP étaient à la manoeuvre. Certes, ils sont politisés et noyautés par ces partis qui sont à la cause de la situation actuelle. C'est patent et pourtant ils s'en défendent, rejetant la faute sur la situation difficile, les pressions extérieures. Mais alors pourquoi sont-ils là, alors si ce n'est pour défendre la souveraineté d'un peuple qui les a élu pour faire ce travail. Même si, à l'époque, les scénarios commandités étaient là aussi pour éviter que d'autres scénarios fussent évoqués, ils ont l'habitude et sont aussi à la source des informations sur l'état du pays. Alors pourquoi demander à des bureau d'études de partis, encore plus politisés, non contrôlés sont ils les références si ce n'est qu'ils sont soumis aux partis. Et puis, n'est-ce pas la preuve d'une soumission bien coupable des politiciens à la toute puissance de l'économie.

[4] fustigator dit le 22/10/2011, 23:31 concernant la liquidation de Dexia Holding
La seule différence entre la liquidation et la faillite est que dans le cas de la faillite les administrateurs risquent d'être poursuivis si l'on découvre des fates graves de gestion . Et il y en a. La thèse de Demotte est un leurre à l'usage des imbéciles: Un curateur mettrait tout aussi bien en liquidation. Mais il y a pire: on a fait appel au fonds Bruxellois du logement et Ethias. Comment les CA de ces deux institutions peuvent-ils approuver ces décisions, alors qu'ils sont eux-mêmes exsangues ? Cette opération est une scandaleuse opération de maquillage de l'incompétence et des fautes des décideurs politiques. Aujourd'hui, Dexia nous a déjà coûté 8 milliards (3 milliards en 2008, 4 milliards il y a dix jours, 1 milliard aujourd'hui. La suite avec Arco, dans quelques mois ! Et on ne sait toujours pas de quels actifs Dexia BAnque Belgique a hérité.


Deux question élémentaires :
1) L'argent a disparu. Où est-il maintenant?
2) Cet argent ayant disparu, qui va payer ce qu'ils appellent avec un cynisme froid, un atterissage en douceur?

Ce qui encore remarquable c'est la dialectique utilisée. Alors que les 13% étaient  proposés comme "bonne affaire" (dans un contexte dépressionnaire, c'est un comble), autant le fédéral que les entités fédérées sont coupables de défaut de prévoyance. Or gouverner c'est prévoir. Les responsabilités sont évidemment partagées. Nier celles-ci montre qu'ils ne peuvent non seulement accepter leurs erreurs mais de plus qu'ils persistent. Or ce sont ceux qui participent aux négociations. Sont-elles alors menées pour le bien être des citoyens? Je n'en doute plus.

vendredi 21 octobre 2011

Gouverner c'est prévoir et nouvelles fonctions de complaisances à la RW.

EN réponse à une façon de présenter les choses particulière de Mr Grosfilley (RTL) :

Ne pensez-vous pas que 500 jours ne soient suffisants pour élaborer des pistes, préparer le terrain, prémâcher le travail. SI tel n’est pas le cas, ceux qui nous gouvernent ne sont pas prévoyant. N’oublions pas que gouverner c’est prévoir. Les organismes (BNB, BP) ne se sont pas arrêtés durant cette longue crise et les modèles tournent et s’adaptent aux contingences. Il serait inconscient d’imaginer qu’étant au pouvoir depuis tant d’années, ils ne connaissent pas les leviers, les équilibres. A moins que l’optimisation et l’organisation du bien être ne soit pas l’objectif principal.Déjà que la BNB sous estime les fraudes (sociales et fiscales), que le BP n’obéit qu’aux injonctions subtiles de tester les seuls options garantissant la continuité de leurs profits, les négociateurs n’auraient pas l’intelligence de préparer leur demandes. Comme au départ ils ne sont demandeurs de rien, sinon de coninuer leurs prédations, il faut alors considérer qu’ils ne sont de toute façon pas compétents. Le vote sanction (et c’est un fameux) n’est même plus écouté. Il est toujours difficile de reconnaître ses erreurs. Quand cela prend des décennies, c’est une maladie chronique.

EN réaction à l'annonce de la nomination politique de fonctionnaire de haut niveau (diplomates) :
Il est incroyable de multiplier les postes alors que les citoyens expriment leur raz-le-bol vis-à-vis des dépenses inutiles, de l'impunité de certains, des affaires multiples, de l'éthique ignorée. A l'heure de l'austérité (pas celle qui consisterait à diminuer les dépenses mais évidemment augmenter les taxes et impôts divers), le politique veut créer des structures, des postes nouveaux. Et de qui vient l'initiative? Alors que nous avons une pléthore de personnes capables dans l'administration, il faut encore créer des postes supplémentaires. Trouvez une bonne raison de ne pas prendre dans la manne des fonctionnaires. C'et le meilleur moyen de démoraliser ces derniers. Comptez les consultants extérieurs, payés rubis sur ongle. Notre administration, au minimum triplée, ne serait pas capable de faire le travail? Evidemment, les habitudes de noyauter l'administration, pratique bien connue de nos partis et de certains en particulier, ne favorisent pas l'indépendance scientifique.

 Mais ce n'est pas pire que ces consultants qui eux nous coûtent et dont nous pouvons constater les résultats. Quand arriverons-nous a nous affranchir de ces cannibales. En rejoignant la France! Espérons que le FDF puisse oser ce paradigme et les autres  comme le RWF et consorts, oser disparaître au bénéfice des citoyens. Il faut essayer d'insensibiliser nos régions aux tentations de récupérations, aux impérialismes, aux principautarismes. Bruxelles ayant d'ailleurs l'opportunité d'incarner l'Europe qui a bien besoin d'un  ancrage physique et d'éprouver ses recommandations pour être crédible. Rendons aussi l'Europe plus indépendante. A constater l'impossibilité d'arrêter l'ignoble train fou qui ignore le vote sanction de juin 2010, il n'y a guère d'autre solution. Expliquons et préparons cette scission.

Amalgame entre économie et politique : Grave dérive

Beaucoup veulent faire l'amalgame entre la politique et l'économique. L'intérêt de ces prédateurs étant de soumettre la politique qui vise à organiser la vie en commun à l'économique qui ne devrait-être qu'un outil au service de ce vivre en commun. Pendant des siècles, la vie en commun était soumise au bon vouloir des rois. Il a fallu une révolution pour permettre l'évolution vers la démocratie. Sous des aspects humanistes, visant à faire croire que le bien être est lié au libéralisme "économique", la gestion politique est réduite à la soumission à une capacité d'enrichissement à tel point que cet humanisme n'hésite plus à s'identifier à la traitrise, au parjure, avec un cynisme qui va jusqu'à faire croire que les projets de société ne peuvent que suivre, s'adapter au dictat d'une économie que nous voyons, chaque jour, faire des ravages. Le pire étant ceux qui s'affichent comme attentifs au social et qui agissent à l'inverse, car ils sont prédateurs et de plus menteurs.

Impôt sur les fortunes, sans hésitation. Ils déplacent leurs fortune vers d'autres cieux. Oui, Certes, et alors. Les grandes fortunes, tôt ou tard, doivent se poser (physiquement, intellectuellement) dans un contexte géographique et sociétale. Lorsque l'entrepreneur risque son patrimoine dans une affaire, il utilise les infrastructures (routes, énergie, force de travail) produites et payées par d'autres (formations, éducations). Dés lors, la valeur de son risque est liée à la confiance, à l'investissement d'une société dans la capacité de l'entrepreneur à développer cette activité. La société organise cette confiance. L'entrepreneur apporte sa capacité d'innovation, de gérer le risque. Les autres, leurs capacités à produire, fabriquer avec leurs différences.

Souvenez-vous, voici quelques mois, le MR (comme le CDH,… même combat), ayant perdu plus que des plumes lors des élections de juin 2010, était mis à l'écart des négociations. Regardez aujourd'hui, ces mêmes qui paradent, décident,  récupèrent une position qui n'est en rien, bien au contraire, légitimée par la sanction du citoyen. Paradoxe de la démocratie? Non, vol et viol de ses fondements où le peuple n'a plus de souveraineté. Il devient alors logique que ces partis qui ne s'embarrassent plus de la moindre déontologie politique puisse pratiquer la traitrise, le reniement sans aucun scrupule, ni état d'âme. Ceux-ci, bien content de peser encore dans les décisions de l'état malgré leurs défaites sont pourtant ceux là même qui n'hésitent pas à oublier 80.000 francophones, mais plus grave encore, l'un des fondements de notre démocratie : l'égalité des citoyens devant la loi.

L'impôt sur la fortune n'est-il d'abord et avant tout un problème de cohérence politique. Certains prônent que c'est une "mauvaise bonne idée".Ces mêmes soumettent la politique à l'économique et ne considèrent pas (et c'est voulu) le tout. Que l'ISF puisse induire une fuite, c'est évident. Or les puissants ne peuvent appuyer leurs fortunes que sur un capital humain (à moyen et long terme). Qu'il soit riche ou pauvre, un être humain se situe dans l'espace et le temps et a besoin d'un ancrage social. Mais alors pourquoi ne pas mettre en place cet ISF et avoir des déductions de cet ISF sur des actions en faveur d'un ancrage sociétale. Le riche pouvant mieux profiter de sa fortune s'il elle a apporté du bien être à ceux qui lui ont permit d'être riche.

A long terme, il est illusoire de penser que ceux pour qui l'appât du gain est valeur cardinale ne déplacent de toute façon pas leurs fortunes. Faire croire le contraire est une tactique pour maintenir les prébendes de ces fortunés. A l'instar de la TVA, cette dernière devrait également s'appliquer aux mouvements financiers (il s'agit aussi d'un produit). Il serait, sur la fortune, intéressant de considérer un impôt de base du même pourcentage que celui appliqué sur les revenus (au sens élargi, la TVA). En effet, la fortune est un potentiel au même titre que la force de travail. La déductibilité fiscale étant au prorata de l'apport à la communauté. Un industriel qui emploie peut déduire des montants à concurrence de la TVA (au sens large) payée par les travailleurs. Il a tout intérêt à employer des travailleurs, réduisant ainsi d'autant le financement du chômage, réduisant la charge pesant sur chaque travailleur (frais de maladies).

Il faut une lecture simple de l'état sous peine de main mises comme nous le constatons actuellement. Il faut également un rééquilibrage raisonnable sous peine de devenir un pays en voie de développement. il s'agit d'une décision politique au sens propre et noble du terme. Et c'est faisable même si cela ressemble à la méthode Coué et en dépit de toutes les pressions des prédateurs politiques. Favoriser, par déductibilité, l'esprit civique permet évidemment plus de stabilité, une répartition des richesses qui ne se base plus sur la hauteur du compte en banque mais bien sur la nécessité d'accepter nos différences. Un cadre qui travaille 12 heures par jour vaut-il 5 fois plus qu'un ouvrier qui travaille 8 heures par jour? Lorsque vous vous noyez, celui qui vous tend la main, qu'il soit ouvrier ou cadre est un être humain avec ses différences, ses capacités, son écoute.

lundi 17 octobre 2011

Ecolo : Avant oui!

Dans un contexte Belgo-Belge, les écolos font parfaitement l'affaire des grandes familles traditionnelles qui ont pris les commandes de ces négociations après avoir, encore une fois, ignoré le signal du vote Flamand et utilisé tous les relais entretenus des noyautages, copinages, arrosages de l'appareil d'état pour éviter de perdre ce qu'ils ont fait passer au fil du temps comme gestion remarquable d'Homme d'Etat responsables. Mais regardez les résultats. Faisant passer la traîtrise et le reniement comme valeur cardinale de notre société et modifiant avec cynisme l'éthique et la déontologie sous l'indispensable nécessité d'une Union Nationale. Ecolo, devenu leur chose, voudrait, après la collaboration, devenir résistant. La perte d'identité, montrée comme  signe de maturité n'est que l'expression d'une petite caste  intéressée par la possibilité d'arriver plus rapidement au poouvoir et profiter des largesses d'un peuple trop bon et généreux.

Faisant ignorer les leçons du passé pour éviter les sanctions (en partant de la Sabena jusqu'à Dexia), le politicien Belge n'a de but que d'entretenir son électorat pour y puiser ses avantages. Plutôt que d'oser trancher dans ses dépenses, il préfère user la tranche des citoyens quitte à lui faire croire et cela fonctionne, à un sacrifice nécessaire. Suite à ces impossibles révolutions coperniciennes, rejoindre la France permet d'oser remettre les fondements au centre de la vie politique et publique. Proposition évitée, galvaudée, soit disant proposée mais jamais évaluée avec sérieux, afin d'éviter le sacrifice pourtant le plus crédible, d'une particratie devenue héréditaire et prédatrice. Bruxelles, district Européen, incarnation bienvenue, d'une Europe actuellement peu lisible pour les citoyens.

jeudi 13 octobre 2011

La constitution du gouvernement : Exemple par excellence d'une manipulation

Des accords, pris en dépit du moindre respect d'un message populaire et démocratique va conduire fatalement à ce genre de situation dans tous les domaines où des différences sont induites entre les citoyens. Les partis aux négociations insistent sur leurs légitimités démocratiques, laissant croire que les autres ne le sont pas, est une tactique utilisée depuis longtemps par notre particratie héréditaire. Les négociateurs pensaient, dans leur coin, avec l'assurance que leurs manipulation, leurs traitrises, allaient donner une légitimité à leurs discrétions coupables, leurs arrangements entre amis. Préparons-nous pour offrir une alternative à nos prévaricateurs qui veulent faire croire (regardez toutes les communications euphoriques).

Il est de plus en plus important de continuer à proposer d'autres solutions que celles proposées par une négociation qui ne fait qu'augmenter les différences entre les citoyens et acter l'appartenance de ces derniers au sol et à l'économie. Accepter ces compromis représentent non seulement une entorse grave à la démocratie mais aussi la certitude de recommencements continuels. Tout a été fait, et c'est bien logique (leur logique), pour éviter un scénario de scission et/ou de rattachement. Le gouvernement Flamand commence déjà à changer les règles. Il est essentiel de faire cet effort pédagogique et de continuer à montrer que ce qu'ils nous présentent est une vaste et immense manipulation qui vise à faire disparaître les fondements de la démocratie au profit de l'économique. Rejoindre la France doit continuer à être explicité, proposé, discuté.

Lorsque le système se perpétue en enlevant la possibilité d'alternance, en ne donnant pas la parole aux citoyens, en construisant au fil des décennies, une main mise totale sur le fonctionnement d'un pays, il s'agit d'un vol rendu indolore des droits de citoyens. Il s'agit d'une évolution bien plus dangereuse  car elle se justifie comme étant démocratique et est ainsi rendue  acceptable par manipulations, mutations des fondements de la démocratie. Ils manipulent les formes pour éluder le fond. L'espression des Flamands a comme origine d'essayer de se débarrasser d'une particratie prédatrice. Même à la suite de cette évolution, il semble que les autres partis ne prennent pas le mesure de cette volonté souveraine. Il continuent à compliquer, rendre illisible un fonctionnement qui ne peut que leurs profiter. Il est donc important de continuer à avoir une lecture différente et apporter une réelle révolution copernicienne.


Regardez Dexia, Mittal où nous pouvons constater que la distance entre le politique et l'économique a totalement disparu. Dehaen est un politicien ayant pris des responsabilités dans le privé (comme beaucoup) où les intérêts particuliers passent au delà des intérêts des citoyens. Etre impliqué dans la vie économique permet aux politiciens d'être reliés à la vie des citoyens. Lorsque ces politiciens gagnent 30 fois plus que la moyenne des citoyens, comme peuvent-ils être indépendant. Ce noyautage, cette mutation n'est plus réversible et il faut donc trouver d'autres scénarios. Celui de rejoindre la France est le plus pragmatique.

Certains trouvent qu'il est trop tard pour changer le paradigme de notre société. Il faut justement, au regard du résultat de cette négociation qui fait fi d'un message important des citoyens, continuer à faire des efforts pédagogiques tentant à expliquer l'ampleur de la manipulation. De traitrises en parjures, nos politiciens veulent avoir une crédibilité qui doit être dénoncée. Sous la pression des agences de notations, des crises, du besoin de garder à tout prix un pays soit disant uni, ils oublient les messages souverains des citoyens. Ils oublient aussi qu'ils représentent les citoyen et qu'à ce titre, ils ne doivent pas penser à leurs intérêts mais surtout trouver la force d'un projet de vie où l'union n'est pas nécessairement indispensable, ni d'ailleurs la prédominance de l'économie. La démocratie vaut bien une scission.

lundi 10 octobre 2011

Les réactions du week-end....

La manipulation est tellement grossière qu'elle trompe la majorité de nos concitoyens qui ne suivent pas ou plus la vie politique vu qu'elle n'est plus reliée à la vie de tous les jours et l'impossibilité constatée d'y apporter la moindre évolution. Une grande part des habitants de ce pays sont dégoûtés par l'incurie, l'impunité, le manque d'éthique, et surtout la recherche de pouvoir.  N'y-a-t-il pas de preuve plus éclatante que le désintérêt des citoyens vis-à-vis de la politique où les particrates ne se posent même plus la question de la pertinence du système politique qu'ils ont noyauté, détourné de ses fondamentaux. Imaginons que les accords historiques soient destinés à changer cet état. Bien, très bien. Cependant, lorsqu'il est déjà constaté le manque de transparence, où le débat démocratique est subtilisé à la vue des citoyens, n'est-ce pas aussi la preuve qu'il s'agit, ni plus, ni moins d'un vol et même d'un viol.

Certains veulent que nous nous réjouissions de l'avancée démocratique de ces accords alors que déjà la représentativité ne prend pas en compte une composante importante des citoyens. Il est évident que l'urgence de la situation était de modifier les règles du jeu. Non pas pour redécouvrir, redessiner notre paysage politique mais pour maintenir, entretenir ce dernier. Il est capital que nous informions nos concitoyens des entorses, des manipulations dont nous sommes témoins où le parjure, le reniement sont élevés comme valeurs cardinales. La démocratie vaut même une scission et certains s'accrochent à un système qui n'a pour but que d'entretenir sa main mise. La bataille semble mal engagée mais la guerre n'est pas finie pour autant. Aidons le FDF à ouvrir les yeux et préparer des élections où au Sud, il y aura au moins une alternative.

A force de favoriser l'économie au dépend de la démocratie, les citoyens mesurent déjà leurs erreurs quand la démocratie ne sera plus disponible pour protéger leurs économies. Oui, le pays du surréalisme où la valeur des hommes se mesure à la hauteur de leurs traitrises. Oui, un pays où il fait bon vivre et qui accentue la différence comme vertu de l'Union. Oui, une nation qui protège ses minorités en les ignorant. Oui, une vision de la transparence où les négociations se font dans le secret. Un territoire de tolérances où le citoyens n'appartient plus qu'au sol. La démocratie mérite mieux, même une séparation, gage d'un retour vers les droits souverains des  citoyens. Face à cette violence devenue norme, face à ce viol entièrement banalisé pour la plupart de nos contemporains, il faut continuer à défendre bec et ongles, les droits et devoirs des Hommes plutôt qu'imaginer défendre ceux-ci en le soumettant au mirage d'une soumission à l'économie. Voyez ce qu'elle nous apporte et ouvrez les yeux!

DR vérifie que Leterme ne lui a pas pris son portefeuille et les actions DEXIA qu'il va recapitaliser sur le dos des contribuables. Il n'y a pas de petit profit. Le peuple est au service des fils de... démocratiquement héréditaires. Le peuple est au service de nos représentants. Acceptation de valeurs inversées.
Leterme, comme dernièrement nos négociateurs agissant dans la transparence, cache sont désir d'élever Dehaenne au titre de Chevalier pour services rendus à la nation et pour sa gestion exemplaire. Ce titre étant là pour d'ici quelques mois, afficher le titre de Chevalier comme étant effectivement la preuve qu'ils ont tout fait pour la pays. Logique d'une manipulation qui sévit depuis des années où l'impunité devient la norme, où la mémoire des citoyens dégoûtés est façonnée pour entériner leurs décisions... Citoyen, ouvres les yeux!

Des idées généreuses, les écolos en ont et les changements de paradigmes biens nécessaires à notre démocratie aussi. Malheureusement, des poils à gratter, il sont devenus la farce des dindons et les grateurs de poils des particrates prédateurs. A force de nier et d'accepter le vol de la démocratie, au risque de se diluer dans cet océan de traitrises, parjures et profits, ces jeunes de la FEF, biens conscients d'accéder rapidement, par le parti écolo, aux hautes fonctions, ont perdu l'essence même de la volonté de l'engagement des militants venus de tous bords. La démocratie vaut bien une scission. Les droit des Hommes méritent bien de garder, contre vents et marées, le cap en se battant contre un système qui a finalement eut raison de leurs ténacité. Même si nombreux sont ceux qui les traitent de Talibans et autres quolibets mais qui ne proposent que d'entretenir leur petit confort égoïste, il faudra se rappeler à leur bon souvenir. Ils savent cependant qu'il n'en sera rien car en voyant la technique pour faire accepter ce qu'ils négocient aujourd'hui, ces prédateurs auront tellement bien manipulé qu'ils seront considérés comme de valeureux défenseurs des droits et devoirs d'un peuple. Transformations, inversions  par glissement successifs de valeurs que nous devrions faire respecter. Citoyens, ouvers les yeux!


A force de favoriser l'économie au dépend de la démocratie, les citoyens mesurent déjà leurs erreurs quand la démocratie ne sera plus disponible pour protéger leurs économies. Oui, le pays du surréalisme où la valeur des hommes se mesure à la hauteur de leurs traitrises. Oui, un pays où il fait bon vivre et qui accentue la différence comme vertu de l'Union. Oui, une nation qui protège ses minorités en les ignorant. Oui, une vision de la transparence où les négociations se font dans le secret. Un territoire de tolérances où le citoyens n'appartient plus qu'au sol. La démocratie mérite mieux, même une séparation, gage d'un retour vers les droits souverains des citoyens. Face à cette violence devenue norme, face à ce viol entièrement banalisé pour la plupart de nos contemporains, il faut continuer à défendre bec et ongles, les droits et devoirs des Hommes plutôt qu'imaginer défendre ceux-ci en le soumettant au mirage d'une soumission à l'économie. Voyez ce qu'elle nous apporte et ouvrez

Je suis effaré par les propos de Onkelinx, sur RTL où elle martèle que Maingain n'a jamais eu le courage de signer un compromis. Encore eut-il fallu que ces partis devenus héréditaires aient pu lui en donner l'occasion. Mais à force de traitrises et de parjures, le juste est souvent désarmé face à cette hargne et cette honteuse association du courage et de la traitrise. Devrais-je rappeler à cette dame qu'un compromis est une convergence et pas une capitulation. Dois-je aussi lui expliquer que si un accord est l'ultime objectif, cela prouve qu'elle et les négociateurs sont bien des prédateurs. Et le sommet c'est d'associer dans la même phrase les difficultés que rencontrent les petits et l'effort qu'ils font (et les riches) avec cette réduction de 5% de leurs salaires de sinistres. C'est manger un steack-frites devant un enfant Somalien, avec, en plus, le sourire. Regardez ces présidents qui négocient dans la discrétion. Auraient-ils peur de sortir et se faire pendre?

Toujours des idées, manipulations et tromperies, mais aucun geste concret qui mouillent leurs chemises. La note de BDW était pourtant claire et à 90% acceptable. Les 10% inacceptables, probablement la diminution de 50% des salaires et du nombre de députés et ministres (et consultants, secrétaires d'état et j'en passent).
Le FDF qui malheureusement n'ouvre pas les yeux, n'a-t-il pas ce mérite d'oser risquer sa pérennité pour respecter l'esprit de la démocratie alors que tous les autres se disent la respecter? Oui, ils respectent la forme mais détournent le fond. Allons vers la France pour éviter l'inévitable récupération et rendre Bruxelles insensible aux impérialismes en rejoignant l'Europe.

vendredi 7 octobre 2011

Accords BHV judiciaire : le danger

Cet accord judiciaire est cohérent avec la scission de BHV. Le problème n'est pas là mais bien dans la scission et ne vient que renforcer celle-ci. Les efforts des négociateurs inconscients, dans leurs logiques entérine un fait, qui dans une démocratie comme la notre, me semble fondamentalement dangereux si pas criminel  étant que là où sur tout le territoire Belge, les justiciables devraient-être égaux devant la loi, une distinction entre citoyens est en train de prendre forme. Non seulement les lois se différencient, qu'elles soient administratives et dans tout les autres domaines de la vie courante, mais la façon dont les citoyens seront jugés dépendra d'une subtile, mais oh combien démocraticide, différence basée sur l'appartenance au sol et en plus l'appartenance à une langue. Cela ne vous choque pas? Moi si. L'absolue nécessité de former un gouvernement, quelques soient les motivations, ne doit pas amener des hommes politiques à galvauder la constitution et notre société.

C'est pour cette raison qu'il faut continuer à dénoncer ces horreurs. Car nonobstant ceux qui pensent que cela est négligeable par rapport au volet socioéconomique, ce dernier sera déterminé (comme ce le fut depuis des décennies. Je ne comprend d'ailleurs pas cette cécité "coupable") par le respect de valeurs fondamentales. Ceux qui pensent que ce volet socioéconomique est le seul qui intéresse les citoyens ont peut-être raison. Toutefois, à l'aulne des évènements actuels, je ne comprend pas que la société civile puisse encore prôner la réduction de la vie à une soumission à l'économie.  Que le MR dont le fond de commerce est clair y participe me semble logique. Que le PS, uniquement intéressé par la pérennité de ses avantages, double viol, est aussi logique. Mais que le CDH ou pire les Verts s'y fourvoient, m'étonne. La démocratie ne vaudrait-elle  pas une disparition. Cela explique l'érosion de ces clones.

Ne faut-il pas remarquer la concomitance d'un accord sur BHV et la mise en garde des juges contre la dangereuse tendance de l'exécutif à s'immiscer dans le rôle de la justice. Comme je l'indiquais au sujet de la scission judiciaire de BHV, les implications sur les fondamentaux de notre démocratie ne sont pas considérés à leurs justes valeurs. "Cet accord judiciaire est cohérent avec la scission de BHV. Le problème n'est pas là  mais bien dans la scission et ne vient que renforcer celle-ci. Les efforts des négociateurs inconscients, dans leurs logiques entérinent un fait, qui dans une démocratie comme la notre, me semble fondamentalement dangereux si pas criminel étant donné que là  où sur tout le territoire Belge, les justiciables devraient-être égaux devant la loi, une distinction entre citoyens est en train de prendre forme.

Non seulement les lois se différencient, qu'elles soient administratives ou autres concernant la vie courante. La façon dont les citoyens seront jugés dépendra d'une subtile, mais oh combien démocraticide, différence basée sur l'appartenance au sol et de plus en plus l'appartenance à  une langue. Cela ne vous choque pas? Moi si. L'absolue nécessité de former un gouvernement, quelques soient les motivations, ne doit pas amener ces hommes politiques à  galvauder la constitution et notre société." La différence d'interprétation entre le Nord et le Sud semble confirmer une distanciation des communautés venant ainsi appuyer mes hypothèses. "C'est pour cette raison qu'il faut continuer à  dénoncer ces horreurs. Car nonobstant ceux qui pensent que cela est négligeable par rapport au volet socioéconomique, ce dernier sera déterminé (comme ce le fut depuis des décennies). Le contraire résulte d'une impossibilité à l'autocritique et la cécité par rapport à l'histoire.

Ceux qui pensent que ce volet socioéconomique est le seul qui intéresse les citoyens ont peut-être raison, avouons-le. Non par manque d'intelligence mais surtout par une désinformation savamment orchestrée.  A l'aulne des évènements actuels, je ne comprend pas que la société civile puisse réduire la vie à la soumission à l'économie. Que le MR dont le fond de commerce est clair y participe y compris au prix de parjures, me semble logique. Que le PS, uniquement intéressé par la pérennité de ses avantages, double viol, est aussi logique. Mais que le CDH ou pire, les Verts s'y fourvoient, m'étonne. La démocratie vaut bien le risque d'une disparition.

Fondamentalement, cet accord judiciaire est dans la logique de la scission de BHV. Ce qui m'inquiète le plus c'est cette forme de différenciation entre des citoyens d'un même pays. Dans le cadre d'une démocratie ou tous les belges sont égaux devant la loi, cet accord n'est-il pas une consécration de l'existence de différences à l'identique de ce qui est plus que suggéré dans le droit du sol et l'appartenance des citoyens à ce sol. N'est-ce pas un danger immense et l'ouverture de la boîte de Pandore?

Je comprend de plus en plus cette cécité "coupable" pour le respect de valeurs fondamentales. Ceux qui pensent que ce volet socioéconomique est le seul qui intéresse les citoyens ont peut-être raison, avouons-le. Non par manque d'intelligence mais surtout par une désinformation savamment orchestrée.  A l'aulne des évènements actuels, je ne comprend pas que la société civile puisse soumettre la vie à l'économie. Que le MR dont le fond de commerce est clair y participe, y compris au prix de parjures, me semble logique. Que le PS, uniquement intéressé par la pérennité de ses avantages par un double viol, reste assez logique. Mais que le CDH ou pire, les Verts s'y fourvoient, m'étonne. La démocratie vaut bien le risque d'une disparition et certains s'y risquent.

Hold-up démocratique

Certes, les thèses aux relents nauséabonds ne sont pas à défendre. Le drame, au regard des communications et des réactions de nos représentants et de beaucoup de citoyens, c'est que cette classe politique est incapable de se remettre en question. il y a comme une impossible prise de conscience que la volonté des Flamand est avant tout de sortir d'une main mise  trop longue et de la construction graduelle d'un système qui n'est absolument plus à l'écoute et le reflet de la volonté souveraine du peuple. Ne parlons pas du Sud où la question n'est même plus pertinente où un quarteron de prédateurs n'essayent plus de se remettre en question. Tout est sous contrôle et doit le rester. Les manipulations, le parjure, les traitrises, le manque d'éthique élémentaire sont devenus valeurs cardinales, empêchant toute velléité d'une remise en question nécessaire et salutaire? Le mal est tellement ancré et la situation tellement urgente qu'une des seules options consiste à rejoindre la France et pour Bruxelles, l'Europe. Nous devrons nous faire violence pour remettre cette souveraineté à sa place quitte à passer au delà de notre Belgitude.

Nous devrons nous faire violence pour remettre cette souveraineté à sa place quitte à passer au delà de notre Belgitude. Nous avons tellement été endormis que lorsque des fondements sont détournés, nous n'avons plus de référent, de lecture simple, claire nécessaire à ce droit et ce devoir qui nous fait adhérer à une nation, une société, un projet. Cette souveraineté volée par des discrétions bien coupables, des faux pas de côté, des affaires, et une impunité insupportable. Pouvons-nous encore penser avant tout à l'économie si nous faisons l'économie de penser à la démocratie? Cette manipulation supplémentaire, voulant mettre l'économie avant le projet est aussi un leurre destiné à, non seulement rejeter la responsabilité sur des phénomènes extérieures non contrôlables, mais aussi de permettre par glissements subltiles, de modifier l'essence même du vivre ensemble à des fins d'entretenir leurs prébendes.

FDF une possible alternative

Les extrêmes se touchent en considérant: les socialistes et les libéraux si on prend l'ancien clivage, le FDF et le PRL, par le passé, les traitres et parjures et ceux qui défendent au delà de leurs intérêts et strapontins. L'intention de réduire le problème de BHV à la portion congrue me semble assez systématique. Non seulement les lois se différencient, qu'elles soient administratives ou autres concernant la vie courante. La façon dont les citoyens seront jugés dépendra d'une subtile, mais oh combien démocraticide, différence basée sur l'appartenance au sol et de plus en plus l'appartenance à une langue. Cela ne vous choque pas? Moi si. L'absolue nécessité de former un gouvernement, quelques soient les motivations, ne doit pas amener ces hommes politiques à galvauder la constitution et notre société." La différence d'interprétation entre le Nord et le Sud semble confirmer une distanciation des communautés venant ainsi appuyer mes hypothèses.

Je comprend de plus en plus cette cécité "coupable" pour le respect de valeurs fondamentales. Ceux qui pensent que ce volet socioéconomique est le seul qui intéresse les citoyens ont peut-être raison, avouons-le. Non par manque d'intelligence mais surtout par une désinformation savamment orchestrée. A l'aulne des évènements actuels, comment comprendre que la société civile puisse soumettre la vie des citoyens à l'économie. Que le MR dont le fond de commerce est clair y participe, y compris au prix de parjures, me semble logique. Que le PS, uniquement intéressé par la pérennité de ses avantages par un double viol, reste assez logique. Mais que le CDH ou pire, les Verts s'y fourvoient, m'étonne. La démocratie vaut bien le risque d'une disparition et certains s'y risquent.