dimanche 18 mars 2012

Ces derniers matins, l'envie de pleurer en partant au boulot, le ventre serré. Pourquoi? La plupart de nos enfants sont aussi partis vers les pistes avec leur retour d'une aventure humaine fantastique. Ce drame nous remet en face de nos peurs, nos craintes de la chose possible. Sentiment partagé. Certes! Je suis aussi étrangement mal à l'aise vis-à-vis de cette presse qui me semble trop friande d'une hypocrisie en ayant cette impression de servir des intérêts qui sont bien loin de l'inconsolable. Je pense aussi à ces enfants Syriens et aux autres qui toutes les minutes, partent sans même faire une ligne. Mais la politique à d'autres critères pour faire voter le changement de la constitution. EN parler n'est certes pas consensuel et tant pis. Pourquoi faudrait-il être consensuel alors qu'ils n'hésitent pas, eux, à avancer sans arrière pensée. Ils considèrent peut-être que changer la constitution n'est pas important? Si, pour mieux garder leurs avantages.

Par ailleurs, la configuration de ces aires n'est simplement pas correcte. Les lois de la cynétique sont immuables. Deux solutions :

  • Au lieu d'un mur à angle droit en fin d'aire de sécurité, une sortie avec des parois incurvées évite une partie du choc. C'est possible d'adapter les zones existantes via un rail de sécurité.
  •  Si la configuration n'est pas possible, une série d'amortisseurs (comme les zones destinées aux poids lourds) est envisageable mais coûteuse en terme de place.
 Essayons de comprendre pour que cela  puisse servir à éviter d'autres drames. Evitons d'agir comme nos politiciens qui rejettent leurs responsabilités sur des facteurs externes alors qu'ils sont pleinement responsables d'autant qu'ils se font élire pour travailler au bien être commun. Ne tombons pas dans ce travers qui ne ramènera pas ces enfants mais essayons de donner à l'insupportable un sens.

samedi 17 mars 2012

La râpe à Fomage

Qui fait les lois qui sont si mal faites sinon ceux qui se remettent aux commandes et qui maintenant modifient la constitution via l'article 195. Certes, il est évident que la stabilité est un atout. Surtout pour ceux qui profitent du système quitte à piétiner la souveraineté des citoyens. Le bénéfice va à ces prédateurs qui depuis des décennies, font croire au grand soir et qui petit à petit vendent tout? Evidemment, en étant demandeur de rien et traîtres en tout, ils ne donnent pas de réponse aux défit occidental. Le seul objectif est celui de continuer à noyauter, phagocyter les forces vives du pays. La râpe à fromage est devenue une stratégie qui vise à ne pas donner de projet sociétal pour s'assurer de ne pas prendre des responsabilité et à la prochaine échéance électorale,  récolter le fruit des risques pris par les autres. Relisez le passé pour constater que c'est ce qu'ils font depuis des décennies.

vendredi 16 mars 2012

Modification de la constitution : Un scénario déjà expliqué voilà quelques mois

L'article 195 modifié : Comment et pourquoi se fait-il qu'il n'y a pas de réaction, ni de contestation pour ce coin enfoncé dans la démocratie. La presse et les médias, pourtant si prompt à faire sensation autour de la moindre réflexion d'un BDW, d'un KP ou J Peulmans n'ont pas retransmis, ni argumenté sur l'importance d'une modification des fondamentaux pourtant déjà bien entammés, de notre démocratie. Depuis des mois, si pas des années, sur ces mêmes colonnes, nous dénonçons les basses manipulations, les stratégies utilisées par ceux qui font tout, jusqu'au cynisme le plus froid, pour garantir leurs privilèges. Il ne devrait y avoir pourtant que cet immense honneur de servir son pays et non pas cette recherche pour entretenir une pléthore de clients justes bons à servir de faire valoir à un fonctionnement qui est devenu tout, sauf démocratique et le reflet d'une souveraineté des citoyens. La démocratie n'est pas négociable.

EDR veut se mettre au dessus de la mêlée pour se donner une envergure d'Homme d'Etat. Mais que voulons-nous? Un premier qui ne ferait qu'arbitrer des conflits qui durent depuis des décennies et dont ils n'a pas apporté, au contraire, d'évolution. Pensez-vous sérieusement qu'une action mise au service du parti et des intérêts subrégionaux, les noyautages destinés à entretenir et perpétuer son emprise sur l'appareil d'Etat lui donnent une carrure d'Homme d'Etat. Il n'est d'ailleurs pas le seul à tenter le mensonge. Il ne s'agit que de manipulations et stratégie quitte à bafouer la démocratie. Et ce petit pays prompt à réagir, où est-il? Certains voudraient faire passer cela pour de la sagesse. Je suis de plus en plus sceptique.

Cela va bien au delà du sort des 80.000 francophones (but de cette modification de la constitution) comme dénoncé de nombreuses fois sur ces colonnes. Voilà quelques mois, ce scénario était déjà exprimé, prédit. Ils s'empressent de cadrer la loi dans le temps car ils savent qu'en 2014, d'autres utiliseront probablement cette entorse aux fondamentaux et cette négation de notre souveraineté. Les mensonges (transferts de compétences alors que les ressources se tarissent, obligeant à certains d'inventer des écritures comptables là où il y a un trou) . Le PS comme les autres, morts de peur face au risque de se voire disparaître, n'hésitent plus à bafouer la volonté exprimée lors des dernières élections. Par l'absence de réponse à la soif de justice, de déontologie, de vérité et comme demandeurs de rien, ils sont arrivés à enlever le sens donné à la constitution. Par leurs manques d'éthique et en ayant oublié qu'ils sont là, au service des citoyens, ils ont fabriqué le terreau des extrêmismes. Et ils voudraient être considérés comme des Hommes d'Etat. Les Belges sont égaux devant la loi. Maintenant, les lois sont inégalesvis-à-vis des citoyens. Il ne s'agit plus d'un problème de communauté mais bien d'essence même de droits humains.

Comme c'est singulier et même amusant. Voilà comment on mesure la grandeur d'âme d' EDR. Il s'agit d'être reconnu parmi les grands alors que l'important c'est d'être reconnu intègre, au service des siens. La vente de la Sabena jusqu'à la participation au CA de Dexia. Le salaire devrait-être proportionnel aux responsabilités. Nos élus semblent particulièrement faire exception lorsqu'il s'agit de leurs nombreux mandats.

N'est-il pas étrange de constater l'absence d'article sur la modification de l'article 195 de la constitution dans la plupart des journaux. D'autant plus étrange que les comentaires apportés à ce sujet,  ne sont pas publiés. RTL comme la RTBF censurent d'ailleurs assez systématiquement des avis qui semblent aller dans une autre direction que celle de la rédaction. Cela suscite interrogations, non? La presse et les médias, pourtant si prompt à faire sensation autour de la moindre réflexion d'un BDW, d'un KP ou J Peulmans n'ont pas retransmis, ni argumenté sur l'importance d'une modification des fondamentaux pourtant déjà bien entammés, de notre démocratie. Depuis des mois, si pas des années, sur ces mêmes colonnes, nous dénonçons les basses manipulations, les stratégies utilisées par ceux qui font tout, jusqu'au cynisme le plus froid, pour garantir leurs privilèges. Il ne devrait y avoir pourtant que cet immense honneur de servir son pays et non  garder le pouvoir à tout prix.

mardi 13 mars 2012

Le royaume de la désinformation

C'était cousu de fil blanc. Le déplacement prévisible de la charge d'une austérité vantée par nos demandeurs de rien, sur une région ne recevant plus une partie substantielle de la manne venant du Nord avait été, ici même sur ce site, évoqué de nombreuses fois, voilà quelques mois, lors des annonces hystériques de la formation de ce gouvernement fort d'une dramaturgie savamment orchestrée par un menteur patenté. Annonces qui sont autant de   véritables boisseaux sur les besoins d'un peuple avide de redécouvrir même une part minime de sa souveraineté. Aujourd'hui, Antoine, le Sinistre qui fait passer des erreurs budgétaires pour des écritures comptables à hauteur de 200 millions et qui se vautre dans le sous-régionalisme, semble avoir une conception de la rigueur bien particulière. Mais le pire étant son Sinistre président qui, étant du même sérail que son Premier Sinistre, fait la vierge effarouchée, laissant paraître une bien hypocrite surprise. Son ramage est à la hauteur du bruit qu'il produit laissant croire au sérieux de son plumage. Malheureusement, le Echte Kaas se retrouvera bien vite dans la gueule du Goupil. L'absence de vision laisse au voleur toute l'opportunité de profiter doublement de son larcin. Cessons d'apporter notre confiance à ces corbeaux.

La beauté de la communication mise au service d'une redoutable machine électorale uniquement destinée à assurer la main mise d'une particratie qui ne se cache même plus d'être héréditaire et continue son noyautage sur toutes les strates du pays. Pourquoi devrions-nous encore donner la moindre confiance, pourtant maintes fois offertes, à ceux qui n'ont pas pris ces mesures alors qu'ils se trouvaient à la tête de ce pays. Ils n'ont même pas l'excuse de ne pas avoir été au courant. Encore pourrions-nous comprendre que la cygale italienne passe de beaux jours mais qu'elle se nourrisse du labeur des fourmis est devenu indécent. Il faut d'ailleurs remarquer que le Sinistre Premier signale les 5% de différences avec les Pays Bas en s'abstenant de citer les 17,8% avec la France. Toujours des demi vérités, véritables nuages des fumées. Par contre,lorsqu'il s'agit de comparer le déficit, il choisit le moins bon rapport. Vision déformée du prisme d'un Permier, demandeur de rien sinon de garder le pouvoir et ses avantages sans penser qu'il est là essentiellement pour servir. Partons vers la France pour se débarrasser de ce simulacre démocratique.

L'impérialisme des régions et communautés ne cessera pas. Une Ville-Etat, district Européen donne cette insensibilité et cette autonomie permettant d'éviter les éternels recommencements. Le statut de Capitale Européenne cogérée pour éviter le syndrome "Washington", permet d'une part à l'Europe d'avoir cette incarnation bien nécessaire aux yeux des Européens et favorise l'utilisation rationnelle des ressources chère aux Eurosceptiques sans se voir opposé des intérêts nationaux puisqu'il s'agit d'une entité supra-nationale et internationale (OTAN) . Plutôt que de continuer à se déchirer avec les conséquences d'un galvaudage des ressources, il s'agit d'avoir un projet politique c'est à dire sociétale qui peut avancer et qui évite les continuels blocages inhérents aux tensions inéluctable. Il n'y a pas création de pays (la Flandre gardant ce qu'elle a déjà pris), la Wallonie rejoignant la France. Ainsi, au Nord, au Centre comme au Sud, nous restons amis.

Comment ne pas relever la tactique de communication du  Premier Sinistre lorsqu'il signale la différence avec nos voisins en citant uniquement les Pays-Bas et évidemment en oubliant les 17,8% de différences avec nos voisins du Sud. Laissant croire que l'effort consentit ici permet de rééquilibrer la différence! Et pourtant, quelques heures auparavant, méthode Coué oblige, il citer l'action Gouvernementale exemplaire concernant l'effort budgétaire en faisant étrangement la comparaison avec notre voisin du Sud. Communication bien rodée qui aux yeux des citoyens laisse croire à un travail de fond, un mal nécessaire, pour notre bien. C'est bien l'objet d'une tactique bien rodée d'une particratie dont l'objectif est essentiellement de garantir ses prébendes. En attendant, les prix de l'énergie sont resté pendant des dizaines d'années élevés, véritable rente destinée aujourd'hui à des intérêts qui ne sont même plus nationaux. Évidemment, la rente nucléaire qui aurait pu rééquilibrer le prix de l'énergie a été utilisée pour biens d'autres projets. Certainement pas pour alléger la charge des ménages mais pour renflouer des caisses vidées par l'incurie de ceux là mêmes qui se retrouvent à l'identique aux commandes. Comment faire passer la faute de na pas avoir été au service des citoyens en une victoire et finalement un dure mais indispensable cure d'austérité... dont ils en sont coupable. Cela dit, la loi ou l'arrêté sera exécutoire en été, période de forte consommation. Après les élections, austérité oblige et contrôle budgétaire et lobbysme  à l’appui, les prix ne seront pas gelés...

lundi 12 mars 2012

Pourquoi la NVA?

La NVA est surtout l'expression de citoyens qui n'ont pas, depuis des dizaines d'années, été écoutés et qui se sont rendu compte que, quoiqu'ils votent, les prédateurs arrivent systématiquement à éviter toute sanction. Il suffit de regarder notre gouvernement, aujourd'hui. Les partis dit traditionnels restent ainsi le meilleur ferment de cette tendance. Par manque d'éthique, de respect de la souveraineté des citoyens, de reniements et trahisons, en demandeurs de rien, ils vendent tout. Regardez les affaires où l'impunité laisse un goût amers. N'ayant pas d'alternative au Sud, ce mouvement grandissant de citoyens, écœurés par les manipulations, dont nous sommes encore victimes aujourd'hui, peut s'exprimer au Nord dans ce désir de vouloir arrêter le détournement de la vie publique. Au Sud, Ecolo se compromet et le FDF garde des oeillères laissant toujours la voie ouverte au pillage et aux petits particularisme sous régionnaux qui grangrènent la Wallonie. Où est le projet Politique?

Pourquoi parler d'un plan B et pas plutôt d'un plan F où la Wallonie rejoint la France et Bruxelles, ville-Etat, devient district Européen. Pourquoi ne serait-ce pas un projet politique? En effet, toute négociation par définition implique des tendances diverses et antagonistes. Demandeurs de rien, vendeurs de tout pour garder leurs prébendes, ceux qui disent représenter le citoyens n'apportent rien sinon cette écoeurante volonté de sauver leur pouvoir et avantages. Regarder ce qui se passe aujourd'hui! Comment éviter les récupérations systématiques constatées depuis des décennies d'années sinon en se rendant insensibles aux impérialismes régionnaux ou sous régionnaux. Curieusement, ils mettent en avant des plans B ou WB aussitôt oubliés pour surtout éviter le plan F qui pourrait leur enlever leurs noyautages, prébendes, profits. Tactique de la terre brûlée! Par ailleurs, ils se pressent pour comparer avec nos voisins (sans remettre cette comparaison dans le contexte) et par contre oublient de comparer les prix (énergie, denrées, matières permières,...) avec ces mêmes voisins. Manipulations...

dimanche 11 mars 2012

Rigueur et preuve des mensonges et du cynisme.

Il n'y a pas un journaliste, ni un de nos représentant pour mettre en avant l'évidence : Avant cette rigueur bien normale et élémentaire, comment faisions-nous? Depuis des années et avec ceux qui pourtant se retrouvent à nouveau à la tête de ce gouvernement qui manipulent les citoyens depuis des décennies, ils font apparaître aujourd'hui l'énorme mensonge. Comment se fait-il que durant des années et malgré une taxation parmi les plus fortes au monde, nos élus n'ont-ils pas eu la décence de gérer avec rigueur laissant supposer (et ce n'est pas une supposition) que la gestion était à la petite semaine, au profit d'une particratie anthropophage et démocraticide. Alors pourquoi remettre ces voleurs aux commandes! Curieux de dire que les déficits de nos voisins sont plus élevés. Pourquoi comparer des situations différentes en oubliant bizarrement de les mettre en perspective?

Véritable tromperie amplifiée par des médias qui ne font plus leur travail. Ils s'abstiennent de dire que la part de la dette est moins pesante, d'autant que la pression fiscale est parmi les plus élevées au monde, ne laissant pas beaucoup de latitudes pour taxer plus et encore moins d'options pour dépasser ce qui nous est imposé. Ceux là hier qui juraient la main sur le coeur qu'ils maîtrisaient le budget, n'hésitant pas, années après années à utiliser des taux de croissances dangereusement optimistes, bradant les fleurons de notre pays pour faire illusion et reportant l'effort sur des entités fédérées afin de rendre leurs actions acceptables sauf pour ceux qui subissent chaque jour leurs décisions. Facile lorsque en fin de mois, ils recoivent plus de 6000 euros net!

Lisez les Cahiers d'observations de la Cour des Comptes dont voici l'adresse de la 168 ème édition : https://www.ccrek.be/docs/168e_c_obs_fed_Volume1.pdf. Le document est long et fastidieux à lire mais est remarquablement éloquent quant à la façon dont nos gouvernants gèrent notre pays. . . Pour les grands fraudeurs, regardez du côté de la SMAP (Ethias), Fortis, Dexia, ANHyp, KBLux. Et qui sont dans les Conseils d'Administrations? Devinez...

Cincinnatus novus | 11 mars 2012

- Grâce aux vertus magiques de la râpe à fromage, ce foutu budget est enfin conforme aux directives européennes. Mais cela ne veut finalement pas dire grand chose! . . . En effet, le budget n'est qu'une simple prévision des recettes et des dépenses de l’État. . . Ce qui nous importe bien davantage est de savoir dans quelles mesures ledit budget sera dûment suivi. Or la presse se garde bien d'y faire allusion avec le même battage médiatique que pour le soit-disant sacro-saint budget. . . Or cette information, jadis, quasi confidentielle est aujourd'hui enfin accessible à tous grâce au web. Il s'agit des Cahiers d'observations de la Cour des Comptes dont voici l'adresse de la 168 ème édition : https://www.ccrek.be/docs/168e_c_obs_fed_Volume1.pdf. Le document est long et fastidieux à lire mais est remarquablement éloquent quant à la façon dont nos gouvernants gèrent notre pays. . . Nous y apprenons d'emblée que non seulement les comptes sont chroniquement communiqués en retard à ladite Cour des Comptes mais aussi que les pièces justificatives n' y sont pas jointes. . . Étant vérificateur aux comptes d'une modeste a.s.b.l. je puis vous affirmer que jamais je ne pourrais approuver de tels manquements aussi graves et grossiers et que ceux-ci m'inciteraient, sans aucun regret, à remettre un rapport négatif à l'Assemblée Générale.

Je suis dégoûté...

dimanche 26 février 2012

L'excès de fonctionnaires! Est-ce la bonne question?

e problème n'est pas tant le nombre que l'efficacité même si à un moment donné c'est lié. Même si comparer n'est pas raison, il suffit de regarder vers les pays scandinaves. Le projet de société est essentiel et le respect des promesses, la déontologie et l'éthique liés à un projet fort, permet d'éviter la plupart des dérives que nous devons constater. Comment pourrions  imposer la moindre morale à une société dont les représentant ne montrent pas l'exemple et ne s'émeuvent pas de leurs propres égoïsmes. Les pas de côtés ou en arrière qui n'arrivent jamais. L'incapacité à montrer l'exemple, l'impunité et le manque de justice élémentaire font le terreau des extrémistes. Et dès que ceux qui demandent un peu de lisibilité, de clartés s'expriment, ils se font taxer de populistes. Que voulons-nous finalement! Un Etat, des politiciens au service de tous. Qu'avons-nous! Une particratie devenue héréditaire dans une nation qui se dit démocratique. Cherchez l'erreur!

Espoir d'une alternative...

Maingain respecterait ses électeurs en ne sortant pas de son particularisme régional Bruxellois. C'est tout à son honneur de vouloir respecter la parole donnée et de ne pas changer les objectifs qu'il a annoncé lors des ses campagnes électorales au contrario de tous les autres qui n'ont pas hésité pour pratiquer la traîtrise et le parjure. Cependant, afin de faire aboutir ses objectifs et d'être peut-être l'alternative attendue, il serait peut-être heureux qu'il puisse envisager d'autres scénarios. Scénarios qui ne contreviennent pas à sa parole et qui peut, dans le cas du rattachement rendre les relations entre communautés remplies de respect et exemptes de toute velléité de récupérations. En retournant le problème dans tous les sens, il n'y a pas d'autres options qui puisse éviter le retour de l'impérialisme qu'il soit du Sud ou du Nord.

Tromper le lecteur en n'avançant que des idées orientée tout en étant journaliste

De et à Grosfilley : Intéressant plaidoyer sur la duplicité de BDW tout aussi valable pour le PS  que vous défendez avec un esprit assez peu journalistique.  Votre opposition vis-à-vis de cette couleur brune que vous repoussez ne voit pas la même réaction de votre part, vis-à-vis du danger tout aussi important de la perte des fondamentaux  et de ceux qui se font insidieusement passer pour démocrates allant jusqu'à être consacré Homme d'Etat alors qu'il piétinent les valeurs cardinales de notre société. Le danger est bien plus grand d'une main mise sournoise que d'une couleur brune qu'aucun d'ailleurs n'ose réellement affronter au risque d'être soi même l'objet d'une critique pourtant bien méritée.

Comment faire passer une austérité à 33 milliards!

La lecture des articles sur le "nouveau" besoin de 2 milliards montre bien que l'idée des impôts a perdu ses racines, tout comme le politique. Quelques soient les interprétations de l'objectif des impôts, l'idée est sortie du contexte au profit d'intérêts particuliers. Or l'Etat, circonscrit dans un territoire, ne peut exister que dans le cadre de ce territoire. Il est ainsi ridicule de parler d'impôts payés à l'étranger vu que ceux-ci ne profitent pas aux habitants du territoire. Et en fonction des acteurs, ils oublient volontiers l'objectif d'être au service pour apporter des arguments fallacieux afin d'éluder l'impôt ou leurs responsabilités. Il devient indécent d'utiliser une vision qui ne sert qu'aux intérêts d'une minorité et en fonction des objectifs et intérêts particuliers. Les syllogismes deviennent insupportables et sont d'ailleurs utilisés pour éluder les objectifs essentiels afin de profiter du manque de lisibilité pour mieux tromper les citoyens.

Que les entreprises soient taxées ou non, elles s'expatrient et souvent avec la bénédiction de ceux qui sont censés protéger nos intérêts. Réductions d'impôts, niches fiscales... Les preuves sont sous vos yeux. L'essentiel n'étant pas là mais bien dans nos valeurs fondamentales et sociétales qui sont régulièrement vidées de sens. Comment pourriez-vous demander à des sociétés commerciales d'avoir plus de respect de la démocratie et des valeurs sociétales alors que nos politiciens s'asseyent sur les valeurs cardinales. Comment s'étonner que la trahison, le parjure, le reniement, le manque d'éthique soient élevés comme mode de fonctionnement. Et tous ces prédateurs de s'empresser de traiter ceux qui mettent le doigt sur leurs manquements de populistes. Tous ces partis incapables de garder la moindre déontologie sont pourtant les seuls coupables.

Nous sommes certes responsables mais non pas comme ils voudraient nous le faire croire. A force de manoeuvrer pour rendre toute alternative impossible, à force de plier la constitution, de rendre illisible les lois pour éviter les responsabilités, ils noyautent, phagocytes et pour certains, perdent leur âme. Et pourtant, malgré cette force immense mise au service du mensonge (relisez la dramaturgie de la dernière crise), ils n'arrivent pas, et cela depuis des décennies, à donner à notre société l'impulsion. Comment pourraient-ils faire puisqu'ils ne sont même pas capables de remettre l'éthique au sein même de leurs factions. Donner de la force à un projet de société demande d'être clair, simple, limpide. Cela demande aussi d'oser le sacrifice nécessaire pour être crédible. Replacés à l'identique, n'est-ce pas le signe évident d'une incapacité à répondre aux défits posés par ceux qui sont taxés d'extrêmistes.

Les certificats verts, une opportunité pour se rendre un peu plus autonome

Les sempiternelles argumentations mensongères. Mais j'aime assez les réactions. Il y aurait de plus en plus de personnes qui s'éveillent? Avec simple bon sens, je préfère payer pour des certificats verts et des citoyens qui investissent fussent-ils bobo (remarquer la signification dans leur bouche) que de continuer à payer de toute façon, honteusement un coût de l'électricité parmi le plus haut du monde. Sans parler que ce qui est produit permet, même modestement de converger vers la production locale et un peu plus d'autonomie. Il semble qu'il n'est pas possible pour certains de comprendre que de petits ruisseaux font de grandes rivières. Mais certains préfèrent payer à GDF ou EDF qui ne s'embarrasse pas de placer des constructions qu'il sera impossible de requalifier. Regarder les quelques reconditionnements avec des piscines remplies d'éléments impossibles à rendre anodins situées à côté de ces anciennes centrales. Et certains voudraient faire croire que tout est parfait. Menteurs!

mardi 14 février 2012

Essayez d'autres lectures

Comment se fait-il qu'ils soient encore crédités d'une once de confiance pourtant déjà maintes fois donnée . Au lieu de se mettre au service de la nation, ils ont, pendant des décennies, utilisé nos impôts pour maintenir leurs prébendes quitte à plier la réalité dans le seul dessein d'éviter la sanction souveraine.Et  ils continuent avec morgue. Que pourrait choisir le citoyen entre la peste et le choléra faute d'une alternative tuée dans l’œuf par des prédateurs qui, on l'oublie si vite, n'ont pas hésité à pratiquer la trahison et le parjure. Que pourrions-nous attendre d'autre au regard des pratiques passées. La mauvaise foi fera dire que le PS comme les autres n'y sont pour rien. Gouverner c'est prévoir. Or la prévision s'est cantonnée à faire tout pour garder le pouvoir, assurant de pérennité des acquis de partis devenus héréditaires. Ce sont ceux là même qui ont pris le fruit de votre labeur qui ne montrent évidemment pas l'exemple. Quoi de plus logique, finalement!

Nous l'oublions si vite. Avec un dépassement de budget de 200 millions qui se serait commué en une bête écriture comptable, Antoine comme les autres "responsables", confondent présence médiatique et service à la communauté. Donnent-ils un message fort et indiquent-ils leur volonté de prendre le destin des citoyens à bras le corps? Certes, il est bien compréhensible d'éviter de voire encore filer des investissements à perte, dans la galaxie mafieuse Liégeoise mais faut-il pour autant nier les priorités face aux trahisons d'une classe politique qui semble encore créditée de confiance alors qu'elle nous a mené dans une parodie démocratique où l'alternance a été tuée dans l’œuf à force de plier cette démocratie dont-ils se disent les héritiers. A tel point qu'ils gardent le pouvoir de père en fils.

Retour après quelques semaines...

Etrange surréalisme que de revenir sur ces pages et de constater que les 541 jours d'un jeu de dupe, de tromperies, se solde toujours par les mêmes qui arrivent, pourtant après des décennies de galvaudages, de négations et de phagocytages de la démocratie, à retourner l'opinion. Enormes manipulations basées sur la peur, perpétuant ainsi la main mise d'une particratie héréditaire. Durant des mois de supposées négociations, mais bien de mises en conditions par ceux qui sont pourtant à la source de la plupart des errements de notre société, ils arrivent à faire croire que ce qu'ils imposent à un peuple souverain serait la meilleure chose. Nous oublions trop vite les calculs basés sur des taux impossibles, pratique utlisée depuis bien longtemps, pour asseoir l'indispensable timonier de Mons. Comment encore porter crédit à ceux qui couvent en leurs seins des traitres et renégats.

Concernant la musculation de Marcourt, elle émane d'une stratégie où il faut présenter des plans qui ne peuvent se réaliser pour empêcher d'autres plan d'émerger. Subtile et pourtant tactique répétée permettant d'éviter d'envisager le rattachement par exemple. Evidemment, l'objectif est de rendre les propositions d'autres audibles, faisant croire qu'il s'agit de la seule voie possible comme celle de Lutgen. Le maintient des prébendes étant, in fine, le résultat visé. En occupant le terrain médiatique, il faut éviter de parler d'une austérité qu'ils ne s'appliquent pas ou de chipottages de chiffres sur lesquels il ne faut pas s'appesentir. Pourquoi sommes nous affligés d'une cécité aussi importante et d'une mémoire aussi sélective?

jeudi 19 janvier 2012

Chronique annoncée

En réaction à Grosfilley
Ah bon! Et à force de dire et de faire comme si tout allait bien, vous trouvez que cela va mieux? En somme, la manipulation serait censée servir les intérêts des citoyens. Mais alors, vous prenez ces derniers pour des cruches! Comme je l'ai déjà exprimé, tout dépend de l'endroit d'où on regarde. Le votre semble de plus en plus éloigné d'une conception du journalisme. Mais c'est votre choix. Par contre, vous n'avez pas entièrement tord de considérer les citoyens comme des cruches, vu le manque de recul qu'ils ont (et ils sont formattés dans ce sens depuis des décennies) et qui les poussent d'élections en élections à voter pour des partis qui sont tout sauf des représentants.

En réaction aux déclarations de Milquet, Picqué, EDR, ... :
Mais bien évidemment que la Flandre doit inclure Bruxelles dans sa stratégie. Comme la Wallonie d'ailleurs :-) Une Wallonie unie à  la France doit effectivement prendre en compte les transfrontaliers (comme beaucoup d'autres) et développer les synergies déjà existentes. C'est une certitude. En quoi cela doit-il être relevé alors qu'il s'agit d'une évidence? Comme évoqué dernièrement, ce véritable brouillard est destiné à mettre en avant (exclusivement) des solutions difficiles pour éliminer dans le même lot celles qui pourraient avoir l'oreille attentive des citoyens. Le danger est pour eux exclusivement de perdre leurs petits intérêts.

En réaction à Demotte :
Et avec quoi va-t-il payer notre ami Gédéon? Une charge de la dette encore non négligeable, 200M à trouver (sans penser aux autres 200M, considérés comme écritures comptables, montrant l'incurie et le cynisme du ministre du budget), l'arrêt de transferts qui jusque là permettaient d'assurer un électorat,... Et pourtant la stratégie, les convergences  actuellse montrent à l'évidence que la faute sera reportée sur ceux qui refusent ce système. Inculqué petit à petit par une communication pernicieuse, l'absence de prise de responsabilité qui va de paire avec la non reconnaissance de leurs erreurs passées (et présentes) vont être commuées, détournées dans l'unique but de perpétuer un système, qui il faut bien l'avouer, n'a pas donné autonomie, liberté, solidarité. Rejoignons la France pour y renforcer les synergies déjà acquises plutôt que de faire l'autruche.

En réaction à CHastel:
Ah! Je pensais qu'ils allaient faire un dîner et participer au carnaval de Binche. Euh, n'est-pas les objectifs élémentaires d'un contrôle budgétaire que de vérifier l'adéquation, de réctifier et d'acter. J'ai entendu dire qu'ils allaient perdre 5% de leurs salaires pour avoir donc à 95% réussit leur mission. Il s'agit du bug de l'an 2012 où le "+" devient "-" et les pourcents se dégonflent à vue d'oeil. Je parie que c'est encore les méchants de l'opposition qui ne comprennent pas pourquoi on occulte la vérité des transferts. Il faut évidemment un nuage de fumée pour éviter de parler des options qui risqueraient de les déposséder de leurs prébendes. Beaucoup de bruit permettant de jeter le bébé avec l'eau du bain càd l'union à la France. Joli!

L'orientation de la presse enferme

Que la RTBF soit devenue un organe de propagande du PS ou du moins une enseigne d'une certaine conception de la Belgique est entièrement normal. En effet, le noyautage des dernières décades et son statut de service public expliquent respectivement l'orientation politique et l'intérêt direct de perpétuer une Belgique où l'institution garde sa raison d'exister. Si l'expression opposée ou juste différenciée était cependant permise (dans les forums, sur les plateaux, concernant le choix des invités), cela garantirait une certaine déontologie journalistique. Malheureusement, la plupart des organes de presse, se réfugient dans l'illusion d'un réel travail journalistique. Il n'est pas dérangeant d'afficher ses convictions mais le professionnalisme impose de séparer les faits journalistiques d'une interprétation orientée. Ce qui fait défaut, particulièrement à la RTBF. Comparer avec les annonces de la NVA montre bien l'amalgame entre politique et presse entretenu par cette même presse.

De même, concernant Kroll, humoriste journaliste pour autant qu'il soit considéré comme émargeant de cette profession, il devrait aussi ne ménager personne. Pourtant, d'autres professionnels de l'humour ne ménagent aucune familles politiques mais l'orientation préférentielle qu'il donne est dans la même veine que celle de la maison pour laquelle il travaille. N'est-ce pas aussi la preuve d'une couleur qui ne voudrait pas s'afficher, cachée derrière une pancarte de respectabilité et augmentée du particularisme régional du dessinateur. Enfin, nier cette orientation, c'est nécessairement enfermer le débat politique dans des schémas imposés par ces derniers. Voilà entre autres, l'origine d'un manque flagrant de remise en question de notre partricratie dont la conclusion est visible dans ce gouvernment incapable de s'amender et de prendre de véritables responsabilités vis-à-vis de ses électeurs.

mercredi 18 janvier 2012

Objectifs du sursaut confédéraliste : Attention à l'étouffement!

Eclatement d'un pays, certes. mais aucune création de nouveau pays. La Wallonie rejoignant la France, la Flandre gardant ce qu'elle a déjà de toute façon pris et Bruxelles, capitale et réelle région Européenne. L'Europe qui gaspille des ressources énormes avec les transferts de ses députés, peut y trouver une incarnation et les Bruxellois, une véritable rétribution via un véritable impôt. Certains préfèrent les malheureux 450 millions alors qu'une étude universitaire bizarrement passée sous silence demandait au minimum 700 millions. D'autres préfèrent continuer à entretenir les répétitions des erreurs de dizaines d'années, soumettant une population assoiffée de justice et d'éthique. Comment pouvez vous imaginer que ceux qui ont phagocyté l'Etat puisse s'amender. Il suffit de regarder les accords passés qui ne laissent place à aucune remise en question, garantie d'une impunité et des recommencements.

A priori, en Français, une union est l'opposé d'une séparation. On oublie vite, dans cette course, que toutes les fonctions régaliennes sont aux mains de la Flandre. On a beau dire que le Flandre triche, il n'en demeure pas moins qu'elle a épongé sa dette. N'oublions pas non plus qu'une grande partie de nos intérêts se trouvent déjà en France. Cependant, ne sous estimons pas le battage médiatique qui vise essentiellement à occulter la réunion à la France en inculquant dans l'esprit des citoyens qu'il ne s'agit que d'une chimère. Car bien évidemment, il s'agit d'un contre feu qui a de toute façon comme but et conséquence de ne jamais permettre d'évaluer cette option qui pourrait s'avérer pragmatiquement une des seules. Evidemment, il veulent éviter de perdre leurss pouvoirs et les techniques sont multiples pour maintenir la main mise d'une particratie d'ailleurs devenue héréditaire.

Finalement, la note de BDW, rejetée en quelques heures et qui était à 90% acceptable devient doucement à 95% acceptable. Et quand je pense que tous pensent que c'est la NVA qui a été le méchant qui ne voulait pas négocier! Imaginez alors le résultat de ces accords sans la NVA? Mais finalement, l'empereur de Mons a eu son strapontin au 16. Notez que ceux qui souffrent le moins demeurent à la tête de l'Etat surtout que profitant d'un gouvernement en affaires courantes, ils se sont octroyés une indexation en pleine crise, en 2011. De plus, la communication astucieuse voudrait faire croire que le nombre de collaborateurs a été proportionnellement diminués. Que neni!  Juste une question. Quel est le taux d'imposition des députés et ministres ?

lundi 16 janvier 2012

Manipulations du PS (Marcourt, Demotte et EDR : une autre lecture...

N'est-il pas logique de dire que Maingain ne se préocuppe que de Bruxelles. N'est-ce pas d'ailleurs là qu'il réside et qu'il a annoncé y faire de la politique? Ce n'est pas comme d'autres qui annoncent la main sur le coeur et qui aussitôt se parjurent ou s'expatrient. Le reniement, le parjure, le mensonge élevé comme valeur, faisant des Hommes d'Etat, comme EDR et les fils de..., donne au FDF la possibilité d'être le petit village gaulois qui résiste aux légions des envahisseurs. Pour autant que le FDF s'affranchisse de ses idées Belgicaines, il pourrait porter une réelle révolution permettant de se débarrasser de cette particratie soumise, véritable Ebola de la démocratie. Pensez-vous, en regardant le machiavélisme des 541 jours, que le débat au P$ n'est pas une stratégie cynique et calculatrice. Essayez une lecture différente, cela ouvre les yeux. Les émois d'EDR ou de Gédéon ne préparent que les différents scénarios pour continuer à plier la démocratie afin de s'y maintenir...

Pensez-vous sérieusement que dans les cénacles du P$, les roitelets ne communiquent pas? Il ne faut jamais préjuger de l'esprit malin des autres, c'est une erreur trop dangereuse. La tactique vise surtout à décrédibiliser (sans la prouver) que l'option Française n'est pas une option en donnant de fausses pistes, noyant l'indispensable travail d'évaluation et de rapprochement, dans une mise en avant d'autres "produits". Les japonais firent de même avec les standard des magnétoscopes. En effet, c'est non seulement un nuage de fumée mais en plus une opération visant à donner à ces partis qui se servent et ne servent pas, une porte de sortie en tentant de  persuader les citoyens d'un débat démocratique au sein des partis et d'un travail véritables pour trouver des voies. Il s'ait surtout de voix, certes conséquence d'une stratégie mais surtout pour perpétuer ce viol de la démocratie. Essayez de faire une lecture différente. De demandeurs de rien, ils sont devenus vendeurs de tout et tous.

A Grosfilley : Une lecture intéressante et comme toujours très orientée. Pourquoi ne pas dire que les effets de manches des deux coqs sont destinés à pousser le placement de membres du P$ au sein du kern. Tactique visant à faire croire que EDR est au dessus de la mêlée, laissant Giet arbitrer. Une intelligente façon de montrer à la flandre la stature d'homme d'Etat de EDR. Penser que les pions ne sont pas déplacés sans raison alors qu'il s'agit surtout d'une communication destinée à noyer toute velléité d'un rapprochement vers la France tout essayant de leurrer le citoyen, faisant croire à une liberté démocratique au sein du P$ qui n'existe plus depuis longtemps. Mais c'est de bonne guerre s'il n'y avait cette volonté sous jacente de mettre sous la coupe d'un parti qui n'a pas pu se réformer et dont les démons sont encore bien vivaces. Ne nous trompez pas!

mardi 10 janvier 2012

Encore des éléments pour relire l'énormité de la situation

Comment aurions-nous un peu de crédibilité alors que notre société se trompe aussi fondamentalement sur son projet. Alors que nous combattons non pas pour l'humanisme ou la démocratie mais pour nous garantir nos ressources pétrolières et autres, nous n'arrivons déjà pas à définir un projet commun où les citoyens seraient égaux en droit et en devoir. Le gouvernement, prêt à tout pour garantir ses avantages et se maintenir au pouvoir nous soumet à des autorités que nous ne pouvons pas, même un peu, maîtriser. Il ne s'agit pas de vivre sur une île mais de construire les outils qui peuvent nous rendre autonomes. Nous avons la technique, l'infrastructure pour pouvoir le faire.

Malheureusement, le petit nombre  qui  tire profit de ce système fait tout pour garder la main mise sur un projet dont le gouvernement actuel est l'émanation pathologique par excellence. Pour ne pas pouvoir accepter et mesurer le galvaudage de notre souveraineté, ils ne peuvent déjà pas prendre la mesure, ni les mesures adhoc pour rétablir l'outil qui nous permettrait un retour vers un projet de société claire. La réactivité soudaine de Milquet démontre qu'elles, comme les autres profiteurs, sur d'autres sujets, ne peuvent réagir que dans une perspective électoraliste sinon pourquoi se réveille-t-elle maintenant alors qu'il est de notoriété publique que notre police est bien impuissante. N'est-ce pas justement la conséquence d'un projet de société tellement devenu flou, vidé de sens, qu'il ne donne plus la moindre chance aux forces de l'ordre. Ces dernières ne pouvant plus indiquer l'ordre puisqu'il se construit au gré des intérêts particuliers d'une particratie. Devons nous penser à la France pour se débarrasser de ces prédateurs?

C'est faire bien peu de cas du fonctionnement de la démocratie. N'est-ce pas la preuve de l'incompétence de certains et que nos dirigeants n'y sont que pour y amasser des avantages? Non seulement, notre démocratie serait si faible (ce qui devient évident) qu'elle ne pourrait endiguer les propos de certains mais en plus, ils jugent de la légitimité de certains. Rien d'étonnant au regard des pratiques et des résultats. Or,regardez les furieux (pour ne citer qu'Erdekens) et hystériques (pour ne citer qu'Onkelinx). Défendre ses idées est louable, même avec force, lorsqu'elles représentent la volonté des citoyens et qu'elles sont sous tendues du service à la collectivité et pas à l'expression d'un ego, à la protection de ses prébendes. Faudra-t-il rejoindre la France pour s'en débarrasser et pour rester amis avec nos voisins du Nord?

Argument supplémentaire pour renforcer et constater la négation de la part des partis  traditionnels vis-à-vis d'un vote de dernier recours, pourla transformation copernicienne du pays, afin de se débarrasser d'une gestion calamiteuse de notre avenir. La NVA existe par l'incurie et le soucis de profit d'une particratie (devenue héréditaire) qui ne peut regarder ses responsabilités, assurance des recommencements. Pourtant peuple raisonnable, le vote de 2010 est avant tout le cri d'un besoin pourtant élémentaire mais ignoré, d'une déontologie, d'une justice. Le meilleur terreau reste l'impossibilité de partis et de présidents à une volonté forte de remettre les valeurs fondamentales de notre société au centre des débats. Au lieu de cela, ils s'approprient le bien être des citoyens.

Comment justifier l'accès au 16 par une réforme qui se fait passer pour copernicienne

Etonnant cette prise de position de la part d'une Ministre (Onkelinx). Porterait-elle encore beaucoup de crédit au prélat de l'Eglise (Leaonard). Etonnant d'autant qu'elle ne pratique pas la même hargne vis-à-vis d'autres prélats qui nient bien plus les fondements de la démocratie. Mais cela rapporte bien moins de voix,  non pas là où elle s'est réfugiée mais là où elle sévit. Mais rien n'est étonnant car tout est calculé. La question à poser n'est pas tant le contenu de sa bêtise mais pourquoi maintenant. Comme pour son mentor, EDR, l'empereur de Mons, il s'agit de ne laisser aucun détail au hasard. Il suffit de constater la manipulation durant la dernière crise pour être convaincu qu'il n'y a rien d'anodin dans leurs communications visant à éliminer tout contre pouvoir qu'ils ne peuvent partager.

Comme exprimé dans ma réaction sur la sortie de Onkelinx, il n'y a pas de hasard. Il faut détourner les regards de leurs profits iniques. Tous, d'une seule voix s'offusquent que des parlementaires s'étonnent (en fonction des documents reçus, pourtant) d'une augmentation de 8%,  au regard d'une réduction bien symbolique de 5% annoncée. Juste parcequ'il s'agit de la NVA. Pourquoi ne pourraient-ils pas s'étonner, étant de plus dans l'opposition, ce qui est le boulot, d'une communication qui va à l'encontre de ce qui est annoncé. La presse se fait l'écho, monte en épingle ce qui constitue le travail de vigilance des parlementaires. Qu'auraient été les résultats de ces accords si la NVA n'avait pas été là? Posez-vous la question et relisez la dramaturgie d'EDR et ses manipulations. Notre démocratie serait-elle à ce point faible que pour ne pas oser une réelle révolution copernicienne plutôt que de se laisser endormir une fois encore par des promesses qui ne servent que l'intérêt particrate

De la bouche du ministre du budget ce matin (Lundi 9/01/2012), le taux de croissance serait plus proche de 0 que des 0,8% annoncés et pourtant ils émettent un budget prévisionnel optimiste, et cela en période de crise. Il parait que gouverner c'est prévoir! Et bien évidemment, empêchés par cette malchance imprévisible, ils ne vont pas pouvoir remplir leur mission, pourtant encensé par une partie de la population, trompée par un discours qui laisserait paraître un sacrifice immense de ceux qui ont galvaudé la démocratie. Relisez la note de BDW alors que ces véritables prédateurs qui sont au gouvernement n'alignaient aucune ligne écrite. Mais heureusement, la traitrise et le reniement des uns, la complicité et l'incurie des autres ont permis la mise en place d'une réforme qui est tout sauf copernicienne. Au regard du passé, comment vont-ils utiliser ces milliards à bon escient?

Vu la manière dont, par le passé, ceux-là même qui se sont réinstallés à la tête de notre avenir ont géré, optimisé, utilisé à bon escient nos économies et nos impôts, il y a de fortes présomptions de mensonges et de vol organisé à la tête de cet Etat. Certains veulent rester optimistes alors que cela fait des décennies que notre confiance leur est accordée alors que tout au long de ces années, les promesses sont trahies, les programmes ayant servi à se faire élire sont reniés, élevant en homme d'Etat ceux dont la trahison sert uniquement leurs intérêts. Oseriez-vous confier vos enfants à des pédophiles? Alors, les fils de... incapables de s'amender pensent déjà que les mesures demandées par l'Europe sont caduques par un artifice qui montre que l'intention d'assainir n'est pas leur soucis premiers mais bien de jouer dans un jeu que nous ne cautionnons pas. Faudra-t-il se joindre à la France afin de s'en libérer?

Ils (Le gouvernement de la RW) ont un exemple au fédéral où partir en guerre n'est plus un problème, où les choix budgétaires se font selon le bon désir et surtout les intérêts électoraux et les entorses à la démocratie montrent que celle-ci n'a de valeur que si elle permet de rendre légitimes des pratiques iniques. regarder le temps pour prendre des décisions précises sur les pensions et celui pour modifier celle des parlementaires. Les exemples foisonnent. Comparez la note de BDW et les sacrifices "immenses" qu'ils tentent d'occulter en détournant l'attention. Quel aurait été l'écho si le PS, dans l'opposition, avait découvert l'erreur. Il aurait été félicité, élevé au rang de martyr. Ici, c'est la NVA, alors la machine démagogique des fils de... et de leur empereur arrive encore à inversre les valeurs. Relisez la crise, les accords, la dramaturgie mégalomaniaque et  en essayant cette lecture, extrapolez... La France pour se débarasser de ces tiques.

Ecolo , un temps poil à gratter d'un système qui a pourtant réussi à se maintenir encore une fois au faîte de l'Etat, a négocié le maintient de la sortie du nucléaire en dépit des fondements de la démocratie. Ecolo instrumentalisé, légitimant une démocratie bien malmenée et perdant son âme sur l'autel de la respectabilité dans un système devenu pathogène et incapable de s'amender, a montré un visage de compromission. Ecolo se fourvoie dans un conformisme où ceux qui se trouvaient à sa tête s'éclipsent, le forfait accompli. L'alternative espérée par les citoyens disparaît, ne laissant à ces derniers aucune perspective d'une révolution copernicienne amenant justice, éthique et réelle démocratie. En Flandre, le vote NVAa donné l'espoir d'un rétablissement de la souveraineté citoyenne mais malheureusement, d'une seule voie, y compris malheureusement Ecolo, ils ont réussi à resoumettre le pays aux prédateurs qui sévicent depuis des décennies. Ne reste-t-il que la France pour s'en débarasser?

dimanche 1 janvier 2012

Divers : 541 jours pour préparer des mesures qui se trompent d'objectif

Les informations qui passent dans les médias sont de prime abord qu'il y a des problèmes de fiabilités et des coûts supérieurs. La question est de s'interroger sur l'objectif de ces informations et à qui profite le crime. Pourquoi certains voudraient-ils éviter le développement d'une filière Gaz? Il serait intéressant que la presse puisse faire le travail journalistique de vérifier les informations. En effet, certains constructeurs auraient la volonté de faire échouer ce type de projet? L'autonomie énergétique résultant d'un projet global et intégré de biométhanisation permet à une filière de se développer, rendant ainsi la Wallonie plus indépendante. Qui a intérêt à empêcher cette autonomie et la création d'emplois qui seraient rendus insensibles aux pressions issues de la mondialisation? Pourquoi ne pas développer des entreprises de constructions d'éoliennes, de panneaux PV, d'unités PAC, etc... Des produits qui nous rendent plus indépendants, insensibles, autonomes. N'est-il pas préférable que les riches investissent plutôt que d'utiliser leurs richesses dans de la spéculation et encore dans des groupes industriels qui ne rendent pas les citoyens autonomes ou qui ne pérennisent pas les activités industrielles locales. N'est-il pas préférable d'investir et recevoir des certificats verts plutôt que de payer des groupes qui n'hésitent de toute façon pas à augmenter les coûts de l'énergie.

La tactique usuelle est bien rôdée. L'objectif primaire est de mettre les amis aux places de pouvoir, noyautant les postes de décisions, en dépit de toutes les promesses, les discours "la main sur le coeur". La communication tout au long des 541 jours nous a fait croire dans le refus des opposants d'aboutir à une réforme qu'ils soient de la NVA ou d'autres factions. La relecture avec un peu de recul permet de se rendre compte que les artifices de la dramatisation, des pressions royales et même jusqu'au timing des grèves étaient, si pas initiés, en tous cas, bien connus. Il est indégniable que EDR est doué en la matière.

La science politique (pas la bonne, celle au service des citoyens mais celle à Son service), les pas de côtés restés lettres mortes ne sont que des jalons pour maintenir un système, dont tous sont coupables de compromissions, permettant de maintenir ce qu'ils appellent "le soucis des plus faibles" et qui n'est en réalité que le soucis de perpétuer un fonctionnement qui, dans la triste réalité, constatée, n'apporte plus la garantie de perpétuer la volonté d'un peuple confiant et généreux. Combien de temps reste-t-il pour éviter l'irrémédiable appauvrissement face à l'avance rapide et souvent aveugle d'un monde en mutation. Les soit disant réformes qui font la part belle à ces prédateurs, donnent pourtant des signaux forts aux citoyens.

Gouverner c'est prévoir et pourtant, depuis des décennies, la prévision n'est pas à l'ordre du jour mais bien les affaires, l'incurie, le profit, la manipulation. Sans ce sacrifice gratuit, sans l'aveux de leurs responsabilités dans l'évolution actuelle, il n'y a pas, par définition, de possible rédemption, ni par conséquence, de réparation. Sans cette prise de conscience, nous sommes et seront toujours les proies de ces prévaricateurs. Mais alors quelles sont les choix qui s'offrent à nous, petits sinon de forcer le renouveau et par quels moyens. Continuer à maintenir le carcan actuel nous garanti les recommencements puisqu'ils ne peuvent s'amender. Alors comment s'affranchir d'un système totalement inféodé sinon en rendant ces habitudes, ces pratiques inefficaces par une union avec la France. Union permettant par ailleurs d'éviter l'anarchie et la paupérisation des petits tout en leur apportant la légitimité ultime d'un choix délibéré.

Avec cette force pour s'opposer réellement aux soumissions qui se préparent, nous pourrions aussi donner un signal à l'Europe. Bruxelles devenant une réelle incarnation d'un capitale, optimisant son fonctionnement.

Il serait logique qu'ils puissent bien gagner leur vie s'ils pouvaient être sanctionnés. Or, depuis des décennies, il n'est plus possible qu'une sanction politique donne un sens au risque qu'encourent un député et donc à son salaire et ses avantages. Même si cela est disproportionné, certains chefs d'entreprises qui prennent des risques ou qui les ont pris, sont bien (parfois trop bien payés). De plus, le vote important (massif diraient certains, si c'était pour leur parti) n'est même pas écouté. La soif de réforme et de changement des citoyens est régulièrement annihilée par ceux là mêmes, qui de décennies en décennies, se replacent aux commandes. Le gouvernement actuel est la preuve vivante d'une démagogie incroyable et prévaricatrice. Ils passent d'une crise de régime à un régime de crise, sauvant leurs peau pour garantir leurs revenus. Alors qu'ils soient aussi bien payés, non seulement pour l'absence de risques mais en plus pour les résultats constatés est inadmissible.

La tactique usuelle est bien rôdée. L'objectif primaire est de mettre les amis aux places de pouvoir, noyautant les postes de décisions, en dépit de toutes les promesses, les discours "la main sur le coeur". La communication tout au long des 541 jours nous a fait croire dans le refus des opposants d'aboutir à une réforme qu'ils soient de la NVA ou d'autres factions. La relecture avec un peu de recul permet de se rendre compte que les artifices de la dramatisation, des pressions royales et même jusqu'au timing des grèves étaient, si pas initiés, en tous cas, bien connus. Il est indégniable que EDR est doué en la matière.

La science politique (pas la bonne, celle au service des citoyens mais celle à Son service), les pas de côtés restés lettres mortes ne sont que des jalons pour maintenir un système, dont tous sont coupables de compromissions, permettant de maintenir ce qu'ils appellent "le soucis des plus faibles" et qui n'est en réalité que le soucis de perpétuer un fonctionnement qui, dans la triste réalité, constatée, n'apporte plus la garantie de perpétuer la volonté d'un peuple confiant et généreux. Combien de temps reste-t-il pour éviter l'irrémédiable appauvrissement face à l'avance rapide et souvent aveugle d'un monde en mutation. Les soit disant réformes qui font la part belle à ces prédateurs, donnent pourtant des signaux forts aux citoyens.

Gouverner c'est prévoir et pourtant, depuis des décennies, la prévision n'est pas à l'ordre du jour mais bien les affaires, l'incurie, le profit, la manipulation. Sans ce sacrifice gratuit, sans l'aveux de leurs responsabilités dans l'évolution actuelle, il n'y a pas, par définition, de possible rédemption, ni par conséquence, de réparation. Sans cette prise de conscience, nous sommes et seront toujours les proies de ces prévaricateurs. Mais alors quelles sont les choix qui s'offrent à nous, petits sinon de forcer le renouveau et par quels moyens. Continuer à maintenir le carcan actuel nous garanti les recommencements puisqu'ils ne peuvent s'amender. Alors comment s'affranchir d'un système totalement inféodé sinon en rendant ces habitudes, ces pratiques inefficaces par une union avec la France. Union permettant par ailleurs d'éviter l'anarchie et la paupérisation des petits tout en leur apportant la légitimité ultime d'un choix délibéré.

Avec cette force pour s'opposer réellement aux soumissions qui se préparent, nous pourrions aussi donner un signal à l'Europe. Bruxelles devenant une réelle incarnation d'un capitale, optimisant son fonctionnement.

@Keule : Bien évidememnt, l'herbe n'y est pas plus verte. J'essaye de trouver une autre solution, optimale, évitant l'anarchie, permettant d'améliorer les synergies déjà existantes tout en évitant les recommencements que nous subissons depuis des décennies. Je ne trouve pas d'autre voie. Le gouvernement actuel est la preuve de la surdité politique vis-à-vis des aspirations des citoyens. La force d'un choix est beaucoup plus importante qu'une soumission non sanctionnable. L'alternance, le mode de scrutin, le référendum assurent une certaine vitalité, si pas une vitalité certaine. Je ne me résous pas comme d'autres sur les forums à limiter mes interventions à râler bêtement mais j'essaye de proposer des pistes qui me semblent intéressantes. Sinon, pourquoi le ferais-je? Je préfère avancer, plutôt que de rester victime d'un système qui n'offre plus, depuis longtemps, l'éthique et la déontologie au service des citoyens.Comment pouvoir agir sur l'Europe en étant nié en Belgique?

Syndicats : EDR doit bien justifier son avenir en préparant la diabolisation des factions politiques qui seront responsables de la chute de ce gouvernement. La prise en otages des uns ou des autres constitue le fond de commerce de ceux qui devraient proposer une éthique et une déontologie sans faille puisqu'ils sont élus pour cela.  Bon joueur d'échec, EDR prépare minutieusement son avenir (plutôt que de préparer celui des citoyens, d'ailleurs). Pourquoi des groupes de pressions telles que la VOKA, la FEB, les mutualités, les organes de "concertations sociales" et autres seraient-ils plus légitimes que les syndicats. La politique Belge se résume à utiliser les associations de citoyens pour maintenir ses prébendes.

Verhofstadt : "Un leader politique n'est pas là pour suivre l'opinion publique". N'est-ce pas la preuve de l'évolution d'une démocratie vers une particratie héréditaire et prédatrice. Ils ne se cachent même plus pour nier la souveraineté des citoyens et l'importance de sa sanction. Quel est le risque qu'il court, lui qui a poussé certaines mesures bien peu démocratique et qui comme beaucoup, s'enfuient à l'OCDE ou encore à l'Europe, se garantissant un futur doré déjà rempli des surplus nationaux. Il n'est pas de ceux , gagnes petits, qui se mouillent la chemise. Il n'y a pas de saine gratuité, ni de sacrifice humaniste mais des mesures conservatoires pour s'assurer un salaire plantureux en fin de mois et une pension confortable après quelques années de travail. Travail dont les résultats sont éloquents, où le travail qui mérite salaire implique aussi qu'il porte des fruits. Et où sommes-nous aujourd'hui? La responsabilité est d'être vu, de briller pour ensuite se réfugier ailleurs, de peur de devoir reconnaître ses responsabilités devant ses électeurs. La preuve, cette responsabilité n'est même plus nécessaire.

Parfaitement d'accord. L'objectif est inaccessible car l'Hô n'est pas parfait (certaines tête d'ampoules vont encore rigoler :-) Mais, est-ce pour autant qu'il ne faut pas essayer d'atteindre l'horizon? Or quels sont pragmatiquement les moyens pour avancer là où ces moyens sont accaparés. Pour travailler avec des pays émergents (et le terme est faible), notre spécificité n'est pas économique mais politique et sociétale. Comment serions-nous cohérent si nous ne construisons d'abord sur les bases humanistes et démocratiques? Un collègue Syriens me faisait comprendre l'hypocrisie de nos combats pour la démocratie au moyen orient et ailleurs. Et il a raison. L'erreur est de ne pas oser repenser notre organisation plutôt que d'essayer de perpétuer celle qui est prônée par des agents extérieurs.Nous ne sommes plus de taille pour nous battre sur ce terrain là, même l'Europe. Par contre, notre force réside dans notre détermination. Nous en avons les moyens, l'esprit..

Lorsque je suis en retard de déclaration fiscale, je paie une amende et elle est particulièrement salée. La rente nucléaire, déjà bien faible n'est pas payée. C'est un peu comme le dossier de financement de l'aéroport de Liège! Jusqu'où ira l'incurie de notre particratie d'autant qu'elle devient héréditaire augurant la continuité de leurs pratiques. L'ANHYP, la KBLux et j'en passe n'ont pas été sanctionnés. Pourtant, chaque mois, plus de 50% de nos salaires sont versés pour garantir l'égalité de traitement devant la loi. La TVA de 21% venant en plus. Nous sommes en droit d'avoir une certaine efficacité. Or, le pays des fonctionnaires semble ne pas offrir l'efficacité que l'on rencontre dans d'autres pays (poursuite des fraudeurs, optimisation des budgets, ...) Véritable armée mexicaine, nos représentant se multiplient, clonages de prévaricateurs laissant peu d'espoir d'un changement.

Lorsqu'il faut, dans le cadre d'un gouvernement en affaires courantes, partir en guerre ou décider de l'indexation du salaire des députés, ils sont tous disposés à voter. Pour ensuite faire croire à leur sacrifice immense d'une réduction de leurs salaires à hauteur de cette indexation. Mais la communication toute puissante à fait le travail démagogique habituel. Gouverner, c'est anticiper. Pourtant, les mesures sur le pensions étant connues depuis longtemps et prises en quelques jours, ils découvrent l'injustice d'un traitement différencié sur les leurs et mettent en place une commission. Commission qui comme celle concernant la déontologie parlementaire, ne se réunira jamais. Encore une communication qui s'inscrit dans la manipulation et l'inconscient collectif.

Panoramix vous avez raison c'est bien pour cela que je parle du dossier de l'aéroport de Liège. Depuis des mois je m'exprime dans ce sens. Lorsqu'il faut, dans le cadre d'un gouvernement en affaires courantes, partir en guerre ou décider de l'indexation du salaire des députés, ils sont tous disposés à voter. Pour ensuite faire croire à leur sacrifice immense d'une réduction de leurs salaires à hauteur de cette indexation. Mais la communication toute puissante à fait le travail démagogique habituel. Gouverner, c'est anticiper. Pourtant, les mesures sur le pensions étant connues depuis longtemps et prises en quelques jours, ils découvrent l'injustice d'un traitement différencié sur les leurs et mettent en place une commission. Commission qui comme celle concernant la déontologie parlementaire, ne se réunira jamais. Encore une communication qui s'inscrit dans la manipulation et l'inconscient collectif.

Nos représentants le sont parcequ'ils l'ont voulu et ont fait campagne pour et pourtant ne respectent pas ce qu'ils ont annoncés. Ils prônent des mesures d'austérité qu'ils ne s'appliquent pas à eux même. Travaillent à l'élaboration des budgets avec un optimisme irréaliste et trouvent des solutions d'austérités bien réalistes. Lorsqu'ils ont gagné suffisamment, ils se réfugient dans d'autres fonctions où ils cumulent à l'écart de tout risque. L'OCDE, l'Europe, le FMI (raté, là). Ils contrôlent les banques (Dexia, KBLux, ANHYP), les industriels (Mittal, Sabena, Renault), les fournisseurs d'énergie (Electrabel)  et pourtant oublient l'élémentaire protection de nos intérêts et au contraire offrent ceux-ci (Intérêts notionnels, aéroport de Liège). Mais ne vous tracassez pas, la main sur le coeur, nous travaillons pour vous et vos enfants. Et le pire, c'est qu'on y croit. Bonne année citoyens!

Pourquoi les Wallons ne pourraient-ils pas envisager la réunion à la France? Alors que nous ne sommes plus, depuis des décennies, écoutés, ici en Belgique, nous aurions au moins la possibilité d'être entendu en France ou des outils ont le mérite d'éxister permettant l'alternance, le referendum, pour ne citer que ceux là! Tout le contraire d'un replis sur soi, l'union permettrait de s'opposer aux tendances visant à soumettre les citoyens à une minorité prédatrice. L'avantage étant d'une part, de se débarrasser d'une particratie qui en devenant héréditaire et niant ses responsabilités (qui seraient pourtant rédemptrice), nous aurions d'autre part une faisceau de synergies pour éviter ces conflits communautaires incessants.

Effectivement, il n'y a pas plus courageux (et dangereux) qu'un rat qui est acculé. Lorsqu'il fallait prendre des décisions courageuses, au fil des décennies passées, pour éviter la liquéfaction d'un Etat, de la démocratie et de l'outil économique, nous aurions aimé voire ce courage. Et maintenant, lorsqu'il y a un risque de voire leurs prébendes disparaître, ils sont tous (avec le sourire, si pas l'hystérie) courageux. Et pourtant, nous avons mis, nous aussi beaucoup de courage et de confiance, au fil des crises, des taxes, des abandons, des trahisons, des reniements que nous avons subit. Ne faut-il pas mettre un point d'arrêt et éviter, comme aujourd'hui, toute récupération en osant s'affranchir d'une parodie démocratique en perpétuant une décision, la seule vértiable depuis 1830, d'un choix dont la force sera réelle car pleinement assouvie. La France.