dimanche 26 février 2012

L'excès de fonctionnaires! Est-ce la bonne question?

e problème n'est pas tant le nombre que l'efficacité même si à un moment donné c'est lié. Même si comparer n'est pas raison, il suffit de regarder vers les pays scandinaves. Le projet de société est essentiel et le respect des promesses, la déontologie et l'éthique liés à un projet fort, permet d'éviter la plupart des dérives que nous devons constater. Comment pourrions  imposer la moindre morale à une société dont les représentant ne montrent pas l'exemple et ne s'émeuvent pas de leurs propres égoïsmes. Les pas de côtés ou en arrière qui n'arrivent jamais. L'incapacité à montrer l'exemple, l'impunité et le manque de justice élémentaire font le terreau des extrémistes. Et dès que ceux qui demandent un peu de lisibilité, de clartés s'expriment, ils se font taxer de populistes. Que voulons-nous finalement! Un Etat, des politiciens au service de tous. Qu'avons-nous! Une particratie devenue héréditaire dans une nation qui se dit démocratique. Cherchez l'erreur!

Espoir d'une alternative...

Maingain respecterait ses électeurs en ne sortant pas de son particularisme régional Bruxellois. C'est tout à son honneur de vouloir respecter la parole donnée et de ne pas changer les objectifs qu'il a annoncé lors des ses campagnes électorales au contrario de tous les autres qui n'ont pas hésité pour pratiquer la traîtrise et le parjure. Cependant, afin de faire aboutir ses objectifs et d'être peut-être l'alternative attendue, il serait peut-être heureux qu'il puisse envisager d'autres scénarios. Scénarios qui ne contreviennent pas à sa parole et qui peut, dans le cas du rattachement rendre les relations entre communautés remplies de respect et exemptes de toute velléité de récupérations. En retournant le problème dans tous les sens, il n'y a pas d'autres options qui puisse éviter le retour de l'impérialisme qu'il soit du Sud ou du Nord.

Tromper le lecteur en n'avançant que des idées orientée tout en étant journaliste

De et à Grosfilley : Intéressant plaidoyer sur la duplicité de BDW tout aussi valable pour le PS  que vous défendez avec un esprit assez peu journalistique.  Votre opposition vis-à-vis de cette couleur brune que vous repoussez ne voit pas la même réaction de votre part, vis-à-vis du danger tout aussi important de la perte des fondamentaux  et de ceux qui se font insidieusement passer pour démocrates allant jusqu'à être consacré Homme d'Etat alors qu'il piétinent les valeurs cardinales de notre société. Le danger est bien plus grand d'une main mise sournoise que d'une couleur brune qu'aucun d'ailleurs n'ose réellement affronter au risque d'être soi même l'objet d'une critique pourtant bien méritée.

Comment faire passer une austérité à 33 milliards!

La lecture des articles sur le "nouveau" besoin de 2 milliards montre bien que l'idée des impôts a perdu ses racines, tout comme le politique. Quelques soient les interprétations de l'objectif des impôts, l'idée est sortie du contexte au profit d'intérêts particuliers. Or l'Etat, circonscrit dans un territoire, ne peut exister que dans le cadre de ce territoire. Il est ainsi ridicule de parler d'impôts payés à l'étranger vu que ceux-ci ne profitent pas aux habitants du territoire. Et en fonction des acteurs, ils oublient volontiers l'objectif d'être au service pour apporter des arguments fallacieux afin d'éluder l'impôt ou leurs responsabilités. Il devient indécent d'utiliser une vision qui ne sert qu'aux intérêts d'une minorité et en fonction des objectifs et intérêts particuliers. Les syllogismes deviennent insupportables et sont d'ailleurs utilisés pour éluder les objectifs essentiels afin de profiter du manque de lisibilité pour mieux tromper les citoyens.

Que les entreprises soient taxées ou non, elles s'expatrient et souvent avec la bénédiction de ceux qui sont censés protéger nos intérêts. Réductions d'impôts, niches fiscales... Les preuves sont sous vos yeux. L'essentiel n'étant pas là mais bien dans nos valeurs fondamentales et sociétales qui sont régulièrement vidées de sens. Comment pourriez-vous demander à des sociétés commerciales d'avoir plus de respect de la démocratie et des valeurs sociétales alors que nos politiciens s'asseyent sur les valeurs cardinales. Comment s'étonner que la trahison, le parjure, le reniement, le manque d'éthique soient élevés comme mode de fonctionnement. Et tous ces prédateurs de s'empresser de traiter ceux qui mettent le doigt sur leurs manquements de populistes. Tous ces partis incapables de garder la moindre déontologie sont pourtant les seuls coupables.

Nous sommes certes responsables mais non pas comme ils voudraient nous le faire croire. A force de manoeuvrer pour rendre toute alternative impossible, à force de plier la constitution, de rendre illisible les lois pour éviter les responsabilités, ils noyautent, phagocytes et pour certains, perdent leur âme. Et pourtant, malgré cette force immense mise au service du mensonge (relisez la dramaturgie de la dernière crise), ils n'arrivent pas, et cela depuis des décennies, à donner à notre société l'impulsion. Comment pourraient-ils faire puisqu'ils ne sont même pas capables de remettre l'éthique au sein même de leurs factions. Donner de la force à un projet de société demande d'être clair, simple, limpide. Cela demande aussi d'oser le sacrifice nécessaire pour être crédible. Replacés à l'identique, n'est-ce pas le signe évident d'une incapacité à répondre aux défits posés par ceux qui sont taxés d'extrêmistes.

Les certificats verts, une opportunité pour se rendre un peu plus autonome

Les sempiternelles argumentations mensongères. Mais j'aime assez les réactions. Il y aurait de plus en plus de personnes qui s'éveillent? Avec simple bon sens, je préfère payer pour des certificats verts et des citoyens qui investissent fussent-ils bobo (remarquer la signification dans leur bouche) que de continuer à payer de toute façon, honteusement un coût de l'électricité parmi le plus haut du monde. Sans parler que ce qui est produit permet, même modestement de converger vers la production locale et un peu plus d'autonomie. Il semble qu'il n'est pas possible pour certains de comprendre que de petits ruisseaux font de grandes rivières. Mais certains préfèrent payer à GDF ou EDF qui ne s'embarrasse pas de placer des constructions qu'il sera impossible de requalifier. Regarder les quelques reconditionnements avec des piscines remplies d'éléments impossibles à rendre anodins situées à côté de ces anciennes centrales. Et certains voudraient faire croire que tout est parfait. Menteurs!

mardi 14 février 2012

Essayez d'autres lectures

Comment se fait-il qu'ils soient encore crédités d'une once de confiance pourtant déjà maintes fois donnée . Au lieu de se mettre au service de la nation, ils ont, pendant des décennies, utilisé nos impôts pour maintenir leurs prébendes quitte à plier la réalité dans le seul dessein d'éviter la sanction souveraine.Et  ils continuent avec morgue. Que pourrait choisir le citoyen entre la peste et le choléra faute d'une alternative tuée dans l’œuf par des prédateurs qui, on l'oublie si vite, n'ont pas hésité à pratiquer la trahison et le parjure. Que pourrions-nous attendre d'autre au regard des pratiques passées. La mauvaise foi fera dire que le PS comme les autres n'y sont pour rien. Gouverner c'est prévoir. Or la prévision s'est cantonnée à faire tout pour garder le pouvoir, assurant de pérennité des acquis de partis devenus héréditaires. Ce sont ceux là même qui ont pris le fruit de votre labeur qui ne montrent évidemment pas l'exemple. Quoi de plus logique, finalement!

Nous l'oublions si vite. Avec un dépassement de budget de 200 millions qui se serait commué en une bête écriture comptable, Antoine comme les autres "responsables", confondent présence médiatique et service à la communauté. Donnent-ils un message fort et indiquent-ils leur volonté de prendre le destin des citoyens à bras le corps? Certes, il est bien compréhensible d'éviter de voire encore filer des investissements à perte, dans la galaxie mafieuse Liégeoise mais faut-il pour autant nier les priorités face aux trahisons d'une classe politique qui semble encore créditée de confiance alors qu'elle nous a mené dans une parodie démocratique où l'alternance a été tuée dans l’œuf à force de plier cette démocratie dont-ils se disent les héritiers. A tel point qu'ils gardent le pouvoir de père en fils.

Retour après quelques semaines...

Etrange surréalisme que de revenir sur ces pages et de constater que les 541 jours d'un jeu de dupe, de tromperies, se solde toujours par les mêmes qui arrivent, pourtant après des décennies de galvaudages, de négations et de phagocytages de la démocratie, à retourner l'opinion. Enormes manipulations basées sur la peur, perpétuant ainsi la main mise d'une particratie héréditaire. Durant des mois de supposées négociations, mais bien de mises en conditions par ceux qui sont pourtant à la source de la plupart des errements de notre société, ils arrivent à faire croire que ce qu'ils imposent à un peuple souverain serait la meilleure chose. Nous oublions trop vite les calculs basés sur des taux impossibles, pratique utlisée depuis bien longtemps, pour asseoir l'indispensable timonier de Mons. Comment encore porter crédit à ceux qui couvent en leurs seins des traitres et renégats.

Concernant la musculation de Marcourt, elle émane d'une stratégie où il faut présenter des plans qui ne peuvent se réaliser pour empêcher d'autres plan d'émerger. Subtile et pourtant tactique répétée permettant d'éviter d'envisager le rattachement par exemple. Evidemment, l'objectif est de rendre les propositions d'autres audibles, faisant croire qu'il s'agit de la seule voie possible comme celle de Lutgen. Le maintient des prébendes étant, in fine, le résultat visé. En occupant le terrain médiatique, il faut éviter de parler d'une austérité qu'ils ne s'appliquent pas ou de chipottages de chiffres sur lesquels il ne faut pas s'appesentir. Pourquoi sommes nous affligés d'une cécité aussi importante et d'une mémoire aussi sélective?