dimanche 25 décembre 2011

Revenons aux fondements

Stratégie politique assez bien menée et comme toujours très orientées. Mais bon, nous commençons à connaître le premier qui tout comme le gouvernement, mélange les faits aux interprétations personnelles amenant subtilement l’interprétation à se muer en vérité. Evidemment, lorsque ces glissements subtils se déploient sur des années, la vérité est pliée, arrangée pour correspondre à celle voulue par ceux qui ont tout intérêt à maintenir leurs avantages. Toute cette stratégie est effectivement bien logique mais nous ne nous posons toujours pas les questions fondamentales. Questions galvaudées, évitées, transformées, édulcorées par une série de ministres, remis en selle à l’identique et qui ne répondent pas aux besoins élémentaires des citoyens. Et il ne s’agit pas de besoins économiques mais bien ce qui vient avant, qui est l'alpha garantissant la pérennité dans le temps d’une société.

Nous avons été habitués à considérer l’exercice gouvernemental comme périlleux alors que sont travail, ni plus, ni moins, est d’optimiser ce que la politique ordonne, dans le sens noble du terme. Nous ne devrions pas avoir de problème avec 880.000 fonctionnaires. Et pourtant, il faut constater que les 50% de nos salaires sont utilisés à des usages bien peu destinés au bien être du pays. Calcul significatif d’une particratie qui met l’économie à l’origine de toute chose, négligeant l’égalité des citoyens, soumettant la souveraineté d’un peuple à des forces dont l’intérêt n’est justement  pas le bien être. Et vous trouvez que ce gouvernement est légitime? Le vote a servi à remettre les mêmes à l’endroit où ils profitaient ouvertement. Que faut-il faire alors. Laisser agir des fils de.... et des partis, incapables de reconnaître leurs entières responsabilités dans la situation actuelle.

Si vous pensez qu'il s'agit des seules pressions extérieures, relisez le passé lointain et proche. Ce qu'il faut plutôt que de faire une révolution, c'est de créer une alternative pour s'affranchir des prédateurs qui spolient le pays. Rejoingons la France. Et dans cette décision, nous aurons la force d'un réel choix. Evitant ainsi les recommencement inévitables, issus d'accords qui n'apportent pas les réponses attendues et qui en refusant la soif d"éthique et de justice, donnent un terreau fertile aux extrêmismes.

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