dimanche 20 novembre 2011

Reconstruire les fondements et oser choisir plutôt que de subit

Certes, il faut bien constater l'incurie de ceux qui négocient, n'hésitant pas à demander des efforts aux communes sans respecter l'élémentaire "Prévoire, Organiser, Contrôler" (POC). Ce qui est surtout remarquable c'est qu'il s'agit pour la plupart des mêmes personnes. En effet, les communes sont souvent (mal) gérées par ceux là qui se trouvent à la tête des négociations. Et ces mêmes personnes qui ont dernièrement poussé les communes à investir en actions au rendement pourtant bien suspects se retrouvent aussi aux régions. La vitesse de bouclages des budgets, les erreurs transformées en jeux d'écritures, les choix de taux de croissances destinés à rendre les budgets conformes, préfigurent le futur d'une éthique galvaudée, véritables graal de notre particratie héréditaire. Combien de temps faudra-t-il encore pour que les citoyens décident de s'affranchir de ces prédateurs qui, il faut le constater, n'ont pas apporté de bien être au fils des décennies passées.

Et il faudrait croire à une rédemption alors que les gestes forts furent et sont des paroles sans suites? Nous, électeurs souverains, avons pourtant suffisamment donné des chances à cette rédemption. Et chaque fois, cette confiance est brisée par la traitrise, le reniement, la négation des erreurs passées, le plus sûr moyen du recommencement. Véritables coups dans les fondements de notre société, construite sur l'idée généreuse de l'égalité des hommes, notre démocratie est vidée de sa substantifique moëlle pour ne laisser que soumission à l'économie, négation d'une aspiration à l'humanisme et trahie par les mensonges de ceux qui pourtant veulent faire croire à leurs intentions socialistes. La seule opportunité reste de quitter ce système et d'adhérer à un autre, peut-être guère meilleur mais où néanmoins, l'alternance, le referendum et la vitalité politique qui en découlent, restent le maigre espoir d'infléchir notre avenir et celui de nos enfants.

S'il faut que cela soit par l'entremise de mouvements syndicaux, pourquoi pas! Cependant,le problème pour moi c'est la continuité. En effet, les syndicats n'ont pas pour vocation de faire de la politique et le relais politique est ensuite donné à ceux qui sont responsables de la situation actuelle et qui  n'apportent (plus) aucune réponse, au contraire, à cette soif de justice. La proximité entre une volonté d'éthique est trop grande avec ceux qui la renient. Le mouvement syndicaliste n'a pas, ces dernières années, été attentif ou même a toléré ces pratiques qui sont reprochées. Le noyautage par des partis qui se prétendent au service des petits est tel qu'il y a certitude d'une récupération assurant la main mise de ces parjures. Au final, la situation ne sera pas meilleure, au contraire. Il faut redessiner non seulement l'économie (petites cellules, insensibles aux pressions extérieurs, autonomes, socialement responsables) mais aussi et avant tout le paradigme de notre démocratie. Le citoyen n'a plus l'occasion d'exprimer sa sanction souveraine. Il me semble quasi impossible de revenir en arrière car le système et ce y compris les syndicats, à la lecture des actions passées, ne peut plus s'amender. Le point de non retour a été atteint voilà quelques dizaines d'années. La seule issue raisonnable tant pour l'esprit démocrate que pour l'économie est de rejoindre la France. Seule une vision globale, ce que s'interdit (les négociations actuelles, comme elles sont menées, en sont la preuve), permet de regarder en face cette mutation qui heurte notre Belgitude.

Ce que tente de faire EDR c'est de faire oublier à la population que l'institutionnel s'invitera rapidement à la table de festin et que le honteux compromis négocié ne tiendra pas longtemps. Nous pourrions même imaginer que ce budget soit "équilibré", son équilibre sera mis à profit pour accentuer les mains mises des partis héréditaires. Tactique du saucissonnage utilisée pour l'institutionnel mais en plus, par la dramaturgie, elle fait oublier ce qui est avant tout essentiel, la cohésion et l'égalité des citoyens. Or, cette égalité est niée depuis des décennies. Belle stratégie effectivement où EDR présente ces négociations comme le sacrifice ultime, le don de soi. En lisant bien, à qui profite le crime? Il n'y a pas besoin pourtant d'être savant pour comprendre ses mensonges, ses manipulations. Mais les médias sont devenus des caisses de résonances de ces prédateurs.

Apparemment EDR voudrait nous faire croire qu'il exige la protection des petits salaires? Qu'il exige aussi la réduction des salaires des députés et pas ces 5% qui sont un véritable affront à la majorité des citoyens. Qu'il exige un minimum de déontologie et d'éthique, en commençant par son parti pour avoir un minimum de crédibilité. Qu'il exige de ses collègues et surtout de ses coreligionnaires de la cohérence et le soucis du service et pas de se servir. Mais cela est impossible tant pour EDR que pour les autres, trop avides d'être au pouvoir, oubliant d'être au service. Il suffit de constater dans toutes les initiatives citoyennes l'empressement qu'ils prennent pour s'y faire un foyer viral. Ces partis sont devenus de véritables virus pathogènes. Ce qu'ils ne comprennent pas c'est qu'à s'entretenir, ils tuent leur hôte.

Fondamentalement, ne trouvez-vous pas étrange, alors que cela fait des dizaines d'années que ces problèmes structuraux existent, qu'ils faut, seulement maintenant, réagir rapidement et soit disant avec force. Pourquoi devrions-nous croire à cette soudaine rédemption. Ces partis traditionnels, responsables par définition, de la situation actuelle voudraient nous faire croire à une saine prise de conscience. L'évolution de la défiance des citoyens face à une gestion destinée à entretenir leurs prébende, a été pour tous LA motivation. Il ne s'agit pas du bien être des citoyens mais de modifications, d'évolutions démagogiques. Signe de leurs actions cosmétiques, ils occultent leurs débats, incapables de rencontrer le citoyen et de lui donner la possibilité d'une sanction souveraine. Au lieu de cela, ils tentent de manipuler les chiffres.

Qui seront les victimes? Pas eux sinon des mesures symboliques comme ces 5% de réductions du salaire des députés. Regardez bien, en vous débarrassant de cette dramaturgie. Le saucissonnage vise à rendre acceptable des mesures qui auraient dû être prises tant au Fédéral qu'à la Région, graduellement. Ils essayent par tous les moyens d'éviter d'être rendu responsables. Ayant la main mise totale sur les organes de l'Etat, ils peuvent, comme cela est constaté par le passé (commission déontologie), prendre les mesures destinées à tromper le citoyen et continuer sans vergogne à se servir. Une des solution est de partir vers la France même si à priori, pour certain, cela n'améliorera pas la situation. En faisant honnêtement l'exercice, ce ne semble pourtant pas le cas.

Effectivement, réduire les problèmes à un partis, même s'il est au pouvoir depuis longtemps et réduire le problème à une famille politique est trop simple. Cette réduction est bien trop facile alors que nous constatons l'empressement des négociateurs à focaliser l'opinion sur des pressions extérieures (alors que leurs responsabilités partagées n'ont pas été sanctionnées) pour essayer de s'affranchir. Les valeurs de notre société sont galvaudées par la traitrise, le parjure où le reniement. L'exemple d'une classe politique qui s'abandonne aux notations en paupérisant sa population n'est-il pas explicite et se traduit par une démagogie nécessaire au forfait. C'est comme de reprocher aux Français d'avoir vidé DEXIA et ainsi vouloir se soustraire à la critique de leurs véritables responsabilités. Alors que les Français font ce pour quoi ils furent élus, nos partis adaptent les budgets pour garder la main sur une gestion catastrophique. Mais qui sont ceux qui ont géré de cette façon. CQFD

Relisez la note de BDW. Toute la dramaturgie actuelle vise à faire écran de fumée pour éviter l'effort de mémoire, en justifiant leurs actions par des pressions exogènes. A la manoeuvre depuis des décennies, les partis aux négociations n'ont pas l'excuse de ne pas savoir, bien au contraire puisque devenus héréditaires. Réductions du nombre de niveaux de pouvoirs et de ses membres, réductions des salaires (pas les misérables 5%, honte aux citoyens), simplifications et optimisation, sanctions, etc. A 90% acceptable. Effectivement, les 10 % étant leurs prébende et on peut comprendre leur refus. Certes, on peut traiter la NVA de populistes. Toutefois, il faut reconnaître qu'ils ne s'embarrassent pas de garantir leurs acquis et ceux des membres de leur partis. Même si les thèses aux couleurs abjectes ne sont pas acceptables, contrairement à ces prédateurs aux négociations, ils ne doivent pas tout faire et n'importe quoi, pour essayer de garder le butin acquis au détriment de la démocratie.

Je n'ai aucun doute sur la conclusion de ce budget qui entérine la prédominance de l'économique sur la démocratie. Vous n'avez de toute façon eu rien à dire, ni même, élémentaire respect de l'esprit de la démocratie, de suivre les débats, vous permettant d'apporter votre sanction souveraine. Ils justifient et tentent de nous faire croire que leur "sacrifice" est la conséquence de pressions exogènes et pour imposer la nécessité d'une austérité qui étrangement ne touche que les citoyens moyens. Alors qu'ils sont à la manoeuvre depuis tant d'années, ils ne peuvent justifier le délabrement de notre pays qu'en faisant croire à leur innocence. Noyauté, phagocyté par ces partis, traitres et parjures, il n'y a d'autre solution que de s'affranchir de ces prédateurs en quittant le système qu'ils nous imposent. Essayez de trouver le moyen de s'extraire de cette dynamique et vous trouverez que l'une des seules solution est de rejoindre la France afin d'éviter la récupération, le recommencement.

Compliquer jusqu'à ne plus rien comprendre est aussi une tactique visant à éviter une lecture qui par sa simplicité pourrait mettre en péril leurs arrangements, leurs stratégies. Le citoyen a besoin d'une lecture simple de son environnement. C'est pourtant élémentaire. Cette simplicité est gage d'une efficacité que nos partis ne veulent pas. Certains crieront au populisme alors qu'il s'agit de revenir aux fondements d'une société dont certaines valeurs vont jusqu'à être inversées. Le sommet étant d'arriver, malheureusement, à transfomer la traitrise, le parjure en valeurs normales d'une démocratie. VOus verrez, à l'issue de ce budget odieux qu'ils arriveront à faire prendre des vessies pour des lanternes. L'expérience de ces mois d'attentes a été pour moi un véritable chemin initiatique où une lecture attentive et différenciée m'ont permis d'arriver à la difficile conclusion que rejoindre la France est la solution la plus optimale.

Quoique nous fassions, le modèle actuel porte en lui sa fin. Le modèle essaye de survivre en imposant un postulat de croissance qui en matière de physique n'est déjà pas correct. La seule façon de s'affranchir d'une irrémédiable déchéance de nos conditions de vie, alors que nous avons encore une infrastructure est de changer de paradigme et de revenir à une économie favorisant de petites cellules socioéconomiques plus insensibles aux tensions exogènes. Mais nous ne sommes pas prêt car ceux qui sont au pouvoir ne le permettent pas, préférant continuer la préemption sur tout. Ceux qui nous gouvernent sont incapables d'oser organiser la transition inféodés aux sirènes de l'économie de marché. L'étape nécessaire à ce nouveau paradigme étant de rejoindre la France pour y développer les synergies propices à donner le temps de cette mutation.

Rester dans le contexte Belgo-Belge hypthèque les chances déjà minces de tendre vers un changement dont nous pourrions être le moteur. Au lieu d'engager de vrais réformes, nos hommes politiques, totalement soumis aux dictats qui se font de plus en plus pathogènes. Considérations bien générales dont nous ne pouvons plus faire l'économie. Ainsi, que le budget arrive sous peu ne doit pas nous empêcher de mettre en place les outils et surtout d'arriver à nous affranchir de cette particratie qui a décidé de maintenir la politique qu'elle mène depuis des décennies. Cette particratie tente par tous les moyens (et vous constatez qu'ils sont nombreux) de faire des réformes qu'ils veulent nous faire prendre comme importantes alors qu'ils ne font que perpétuer sous l'apparence de sacrifices qui ne changent en rien la nécessité d'évoluer vers un schéma assurant différemment le bien être des citoyens. Faut-il pour autant accepter ce qu'ils vont nous imposer sous la bonnière d'une impossible remise en question et en niant tous leurs responsabilités évidentes. Cette négation preuve qu'il ne peut y avoir de révolution copernicienne.

La faute aux flamands, la faute à la FGTB, la faute à la finance,... N'avons-nous pas la fierté de prendre notre destin en main plutôt que de rejeter la faute alors que ceux qui sont élus pour gérer ce destin n'ont pas eu la dignité de respecter leurs engagements. Le système mis en place, au fil des années, à rendu la sanction inopérante sous l'apprence trompeuse du compromis. Le compromis n'est valable que quand le fond travaille pour le cohérence, le bien commun. Or, au regard du passé, ce qui est vérifiable, c'est l'évolution, les traitrises, les impunités, les reniements, les parjures de nos représentants. Que faire alors? Pour donner une meilleure probabilité de réussite il serait peut-être judicieux de rejoindre la France.

Et il y a aussi d'autres solutions. Non pas de succomber au dictat d'une vision mettant la chose publique à la merci de groupes dont l'intérêt n'est pas souveraineté des peuples mais leurs soumissions. Ouvrir les yeux en revenant à des questions fondamentales. En étant la tête dans le guidon, comment pourrions-nous réaliser la moindre révolution copernicienne. S'échiner à vouloir continuer à entretenir un système qui a préféré une vision pathogène au dépend de la souveraineté des citoyens n'a plus sa place. Le rejet de la faute sur l'autre, c'est accepter d'être victime. C'est aussi abandonner l'idée que tout est possible.C'est refuser les leçons du passé, le meilleur moyen de s'enfoncer dans ce cul de sac. Mettons les meilleures chances de réussir en rejoignant la France. Pourquoi. Déjà parce que cela sera un choix et pas une contrainte. Ensuite par cette petite possibilité qu'offrent l'alternance, le referendum. Certes ce n'est pas rose mais ici c'est impossible.

A force de vouloir être consensuel, le poil à gratter progressiste est devenu la chose "jetable" d'un système qui n'arrive et n'arrivera pas au changement copernicien de notre société. Changement éminemment nécessaire dont nous ressentons seulement les prémices. A vouloir exister dans un système soumis à des acteurs exogènes, niant la souveraineté des peuples, les verts ont voulu se diluer dans une mécanique qui ne peut supporter ce compromis encensé par ceux qui sont au pouvoir et qui n'est finalement qu'un levier démagogique pour ancrer une conception prédatrice et pathogène. En rejoignant la France, il s'agit d'un choix et non plus d'une contrainte, décidant de notre avenir avec la plus grande probabilité de réussir même si ce n'est certes pas rose. Ici, le Brun ou le Noir règnent et tout, naturellement, nous invite à y réfléchir. C'est l'assurance que les frustrations qui ont naturellement mené la division de ce pays, depuis des décennies, reviennent ou continuent. Pourquoi cela se serait il passé alors?

Comme le disait Coluche : "Compromis, chose due". Regardez l'évolution du monde et toutes les gesticulations sont et seront vaines si nous ne changeons pas le paradigme de notre économie et si nous n'avons pas le courage de faire cesser cette soumission de la souveraineté des peuples face au dictat d'une économie. Beaucoup diront qu'il s'agit de s'occuper des gens et pas des idées. Et bien, non! Voilà des décennies que  nous avons galvaudé les idées pour aboutir à une totale dépendence des gens. Pour avoir pratiqué le comprimis sans consensus, ceux qui avaient et sont à la charge d'organiser, régler la vie en commun se sont enfoncés dans la traitrise , la reniement, le parjure et l'impunité. Comment pouvoir s'occuper des gens lorsque leurs égalités est mise en péril? Comment apporter le bien être quand la maison est bâtie sur du sable? 

Que risquons-nous de plus que d'être niés, vampirisés. Forcer le vrais changement, en refusant le dictat n'est pas une mince affaire! Cependant, ceux qui risquent de perdre sont ceux qui ont depuis des décennies galvaudé les forces des citoyens. En étant pragmatique, la preuve la plus simple étant qu'un gouvernement en affaires courantes fait l'affaire. Il faut refuser et arrêter cette soumission, où les élus se soumettent plus volontiers à l'extérieur qu'à leurs cotoyens. Ne faut-il pas constater qu'à force de confier à ces prédateurs la gestion de nos intérêts, ces derniers sont phagocytés et utilisés pour leurs permettre de continuer à sévir. Quel meilleur moyen que de stopper net ces pressions (FGTB, PS, MR, CDH, ...) destinées à nous faire croire que nous perdrions tout alors qu'ils peuvent-être les seuls à perdre. Que mettre à la place? Partons vers la France. Première étape.

Ils dessinent les catastrophe pour mieux nous les faire subir. Osons dire non! Pas le non destiné à faire pression pour mieux récupérer ensuite. Pour rendre ce non effectif, il faut rendre impossible les mensonges, les transformations machiavélique, les mutations destinées à assurer le contrôle et la main mise, confiée finalement à d'autres. Autres qui  n'ont cure du bien être, de la pérennité d'une démocratie. Je n'ai trouvé que la réunion à la France comme première étape. Etape nécessaire à rendre une partie de cette souveraineté. Assumer un choix et toujours mieux que de subir une décision. Je suis certain que les citoyens, forts de cette responsabilité, apporteraient le meilleur alors qu'ils savent qu'ils ne peuvent plus rien apporter puisque depuis des décennies, leurs soif n'est plus écoutée, transformée aux intérêts d'entités insensibles à leur bien-être.

Facile de taxer toute simplification, optimisation, régulation comme populiste. Remarquez que dès qu'une mesure ne convient pas, elle est populiste. Pourtant ce n'était pas la note de BDW, à 90% acceptable qui était populiste mais bien son rejet. D'un côté, le MR qui doit faire de la musculation pour continuer à exister jusqu'à pratiquer la traitrise et de l'autre le PS qui fait croire que la faute c'est l'autre pour pouvoir continuer à exister et donner l'illusion d'une solidarité là où s'agit de la démagogie habituelle. Entre les deux, le CDH véritable sangsue et écolo qui essaye d'exister au prix de son âme. Mais qui est populiste. Choisissons plutôt que de subir. Serions-nous incapable de  nous affranchir d'un système incapable d'accepter la responsabilité qu'il a et donc d'avancer vers un meilleur. Simple et populiste évidemment.

Le calcul du PS et l'orientation qu'il insuffle machiavéliquement est intéressant. Il forme le gouvernement, il reçoit le plébiscite du peuple (de courte durée). La presse, véritable caisse de résonance y sera utilisée et ce qui restera dans les esprits, c'est le rôle volé par le PS. I ce dernier échoit, la faute sera due aux calculs électoraux, à la conjoncture, aux autres. Et ainsi, il reçoit encore la palme du protecteur des citoyens, défenseur de la solidarité. Ces calculs ont permis le noyautage, la main mise sur l'Etat depuis des décennies. VOus pensez que j'exagère? Parcourez notre histoire avec cette grille de lecture. Le poisson pilote de la FGTB utilise la peur pour renforcer le résultat expliqué ci-dessus. Si nous avions une alternative, cela ne poserait pas problème. Ils pratiquent tous la designation de l'autre comme source de tout mal. Preuve d'une impossibilité d'évoluer et de changer. Stop et choisissons plutôt que de subir. Allons vers la France.

Prenons un simple exemple : Tous, pour faire croire à leurs bonnes intentions, leur rédemption, la fin de leurs impunités, ils ont voté la mise en place d'une commission parlementaire de déontologie et de bonne gouvernance. Elle n'a jamais vu le jour. Un autre exemple avec la réduction des cumuls demandée et pourtant vidée de son sens. En effet, les ténors, gavés de mandats (regardez EDR, DR,...) sont ceux qui continueront tout à fait légalement ces cumuls. Ils s'arrangeront pour que seuls les seconds couteaux ne puissent cumuler. Ces deux exemples (parmi tant d'autres) montrent qu'ils n'hésitent pas à étouffer ce qui ne leur convient pas et à légaliser habillement ce qui les arrangent. Et comment voulez-vous sortir de cette véritable anguille qu'est notre particratie qu'ils onit rendu héréditaire sinon en la rendant caduque, inefficace. Une, si pas l'unique façon de le faire, est de partir vers la France sans oublier les avantages qui en résulteraient.

Nous vous protégerons, ferons remparts contre ceux qui vous veulent du mal. Ah bon! Depuis des décennies, c'est le mensonge... qui ne s'est jamais concrétisé. Ne laissons plus d'autres décider à notre place. Ne laissons plus nos espoirs être récupérés, à la merci d'une particratie, d'une Europe, elle même à la merci de personnes pour qui je n'ai pas donné ma confiance. Idées simplistes, populistes? Non, trop facile de taxer toutes les idées de populistes lorsqu'elles contreviennent aux intérêts de ces prédateurs. Il s'agit de choisir le moyen de remettre la volonté des citoyens au centre des fondements sans que ces derniers n'en subissent trop les effets. Par ce choix délibéré, les citoyens montrent qu'ils comptent mais aussi qu'ils choisissent d'être acteurs tout en continuant à pouvoir garder leurs facultés de donner les directions de leurs destins. Rejoindre la France, c'est garantir d'être entendu en optimisant les chances de réussir une véritable révolution copernicienne.

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