lundi 17 octobre 2011

Ecolo : Avant oui!

Dans un contexte Belgo-Belge, les écolos font parfaitement l'affaire des grandes familles traditionnelles qui ont pris les commandes de ces négociations après avoir, encore une fois, ignoré le signal du vote Flamand et utilisé tous les relais entretenus des noyautages, copinages, arrosages de l'appareil d'état pour éviter de perdre ce qu'ils ont fait passer au fil du temps comme gestion remarquable d'Homme d'Etat responsables. Mais regardez les résultats. Faisant passer la traîtrise et le reniement comme valeur cardinale de notre société et modifiant avec cynisme l'éthique et la déontologie sous l'indispensable nécessité d'une Union Nationale. Ecolo, devenu leur chose, voudrait, après la collaboration, devenir résistant. La perte d'identité, montrée comme  signe de maturité n'est que l'expression d'une petite caste  intéressée par la possibilité d'arriver plus rapidement au poouvoir et profiter des largesses d'un peuple trop bon et généreux.

Faisant ignorer les leçons du passé pour éviter les sanctions (en partant de la Sabena jusqu'à Dexia), le politicien Belge n'a de but que d'entretenir son électorat pour y puiser ses avantages. Plutôt que d'oser trancher dans ses dépenses, il préfère user la tranche des citoyens quitte à lui faire croire et cela fonctionne, à un sacrifice nécessaire. Suite à ces impossibles révolutions coperniciennes, rejoindre la France permet d'oser remettre les fondements au centre de la vie politique et publique. Proposition évitée, galvaudée, soit disant proposée mais jamais évaluée avec sérieux, afin d'éviter le sacrifice pourtant le plus crédible, d'une particratie devenue héréditaire et prédatrice. Bruxelles, district Européen, incarnation bienvenue, d'une Europe actuellement peu lisible pour les citoyens.

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